@Krolik,
Je mange mon chapeau ....
Vous savez bien qu’il ne s’agit plus de l’Italie mais de L’Afrique et de l’Asie .
Et du Bresil qui entend sabrer 50% de la forêt amazonnienne pour agrocarburants et pâturage.
Signez au moins la pétition de protestation sur Greenpeace.fr plutôt que de rêver à un avenir caduc.
Il faut protéger cette planète ou ce qu’il en reste .
L’énergie est une chose, mais la souveraineté alimentaire en est une autre.
Et si l’homme peut vivre sans éléctricité ou chauffage et sans se déplacer,il ne sait pas survivre sans eau et sans manger et sous 45°.
Le premier territoire à morfler et ce depuis 7 ans est l’Australie : Plus d’eau, plus de pluies, plus de récoltes, plus de bétail ....l’énergie ,ils s’en tapent.
Les hommes politiques vont même jusqu’à faire appel à des aborigènes pour faire tomber la pluie.
L’énergie marrée motrice ne fera pas repousser des plants sur terres déforestées en Indonésie, à Sumatra et Cuba.
L’urgence est biologique et dans le maintient des conditions hygrométriques et de température de cette planète.
Le reste est fumeux.
Car ça urge.
Lisez le rapport de Nicolas Stern sur l’économie sous inaction en matière de limitation drastique des GES.
Chercher à développer des énergies différentes est en régard des enjeux vitaux de cette planète de la masturbation intellectuelle .L’acididification des océans, la déforestation menace à très court therme la possibilité pour l’humanité à se nourrir.
Ce sont les vraies priorités.
Les énergies alter ont un gigantesque temps de retard et les GES une puissance de basculement phénoménal sur les conditions de survie de l’humanité de demain soir ....
Et nous n’avons plus le temps.
Allez voir sur le site contre infos .fr les dernières nouvelles des climatologues.
C’est trop tard.Nous allons vers "Soleil vert" de Richard Fleischer.
C’est dans les années 50 qu’il fallait penser aux énérgies alternatives aux énérgies fossiles .