A Mr Villach. Tous ce que vous dites là me paraît peu comprehensible mais significatif.
Vous melangez tout, répondez à coté de la plaque, me prétez des idées qui ne sont pa les miennes. Partout sourd une sorte d’aggressivté obsidionnale contre ces pauvres catholiques qui me parait assez irrationnelle.
Je ne vois pas du tout en quoi je suis dans le pétrin. Etant moi même un calviniste de strict obédience, non seulement je ne me sens en rien concerné ni par la hierarchie ni par les dogmes catholiques, mais qui plus est, je suppose que dans un cas de ce genre, j’aurai réagit comme la mère même si il est toujours facile de se prononcer quand on est pas concerné. Votre système est tellement bouclé sur lui même que vous semblez imaginez qu’on ne peut pas prendre la défense de l’église catholique sans en faire soi même parti et être nécessairement complice. Vous avez des visions très manichéenne ou les bons sont très bons et les méchants très méchant.
Vos arguments sont tout sauf clair. Ils sont même contradictoires et opportunistes ; Vous ne répondez pas sur la logique qu’il y a à concevoir un enfant comme le résultat d’un désir parental plus que d’une physiologie et des conséquences qu’impliquerait votre position en l’abscence de ce désir, par exemple d’un des parents.
Vous prétendez ignominieuse une exclusion de la communion, lors même que celle ci est le rite central d’une organisation dont vous prétendez qu’elle asservie l’humanité et dont je suppose que vous pensez par ailleur qu’elle n’a aucun sens.
Je n’ai pas à avoir du courage ou pas pour approuver cette décision. Elle ne me concerne en rien. C’est une procédure interne à une église qui n’est pas la mienne. C’est comme si je m’étais à amusé à condamner les exclusion au PC à la grande époque. En revanche, je ne comprends pas votre aggressivité. L’église catholique réafirme une fois de plus un de ses principe, la primauté de la vie à tous les stades. Ce n’est pas nouveau d’une part et c’est respectable d’autre part, que l’on soit d’accord ou pas. Qui sait ce qu’est la vie, ou elle commence et ou elle s’arrête ? Au nom de quoi une conception devrait elle s’imposer aux autres ? Désormais et pour l’essentiel, la conception catholique s’applique à ceux qui y adhèrent point barre, et c’est bien leur droit.
Avec Golias, on est effectivement au coeur d’un vrai sujet. Je ne comprends pas très bien la logique de gens qui veulent être catholiques sans l’être tout en l’étant. SI leurs convictions étaient sincères, ils auraient toujours le choix d’une de nos innombrables églises qui offrent un panorama de toutes les sensibilités possible. Il en est même qui pense que Dieu n’existe pas...
C’est un peu la même que la votre qui reprochez à l’église de priver quelqu’un de quelque chose qui vous parait sans importance. La communion n’a aucun sens et donc elle devrait être un droit pour tous ? Rester ainsi dans l’institution en la contestant me semble participer d’une démarche politique, de pouvoir, plus que de foi. Cependant,si je comprends bien, il ne sont pas contre l’autorités des evêques, mais contre celle de ceux qui ne pensent pas comme eux. En cela, ils semble assez proche de vos idées.
Chez les catholique comme chez les socialistes et les communistes, il existe une "discipline de parti jusque sur les questions éthiques. Cela ne me plait pas, mais c’est leur règle du jeu. Recourir à des mots comme totalitarisme est parfaitement excessif en la matière.
Au moment de l’abolition de la peine de, mort, sujet émminemment ethique et ou un vrai démocrate aurait laissé à chaque député la possibilité de faire un choix personnel, Miterrand à choisi de faire appliquer la discipline de parti ; Je trouve cela un peu choquant de mon point de vue, mais il y a loin de là au totalitarisme, ou alors tous se vaut.
Sur l’histoire de l’église, des dissidents, des hérétiques, vous avez visiblement vos idées à vous. Soit.
En revanche, dans votre dernier paragraphe je suppose que je me suis mal exprimé. Je ne parle pas de barbarie concernant cet épisode mais au sujet de votre démarche à vous.
Je ne voit de barbare ni dans, l’église catho, ni dans la mère de la petite fille, ni dans les médecins. C’est de vous personnellement que je parle.
Dans votre prétention à diviser l’humanité entre humain et inhumain au nom de désaccord de valeur je vois clairement une résurgence de la barbarie, au reste assez courageuse, car les valeurs que vous présentez comme universelles, irréfutables, inquestionnable, et qui sont les votres sont finalement très minoritaires et pas mal en perte de vitesse sur la planète. Etre minoritaire est courageux, cela ne signifie pas être intelligent ou innocent. Après tous vos prédecesseurs qui ont voulu trier les hommes en humains et inhumains étaient souvent peu nombreux au départ. cela ne les a pas empécher d’être d’efficace dansz les résultats obtenus.
Enfin vous terminez sur une note apocalytpique qui est comme la cerise sur le gateau. Les gens qui clament, "si vous ne partagez pas mes idées, ce sera la fin du monde..... " c’est quand même avant tout typique des discours sectaires au propre comme au figuré.