bonsoir l’auteur,
éééé bé, ça fait un moment que je l’attendais celui là. Je suis même étonné qu’il ai pu passer.
comme quoi, il faut jamais désespérer ...
Qui sait, ils vont peut-être m’exhumer mon article sur l’immeuble de pékin bourré de feu d’artifices et qui a cramé du sol au plafond (sur 68 étages) tout en ayant le mauvais goût de rester debout après le feu de joie, à l’instar de n’importe quel immeuble du WTC !
L’article fut refusé parce que on en aurait trop parlé (en tout cas, pas sur sur avox, ni même ailleurs dans la presse traditionnelle)
Mais je m’égare ...
sur votre article effectivement, ça se tient, bien que j’ai quand même quelques doutes sur la "tenue" des bombes sur le long terme. Une bombe atomique c’est avant tout un mécanisme d’une incroyable précision - je vais pas rentrer dans les détails mais pour expliquer ça simplement, c’est cette précision dans la fabrication qui va en fait déterminer toute sa puissance. Les explosifs employés pour arriver à une masse supercritique doivent être usinés et agencés avec une précision micrométrique. Faute de quoi, une bombe atomique ne serait qu’un vulgaire pétard mouillé. Et je parle même pas des durées de vies des autres composants d’une telle bombe. Régulièrement, il faut changer quelques pièces pour que tout fonctionne.
Si on suit votre théorie, les bombes que possèderaient l’iran ont de bonnes chances d’avoir "bougé", ce qui les rendrait quand même difficilement réutilisable. Il faudrait alors récupérer la matière fissile, ce que vous supposez d’ailleurs.
reste malgrès tout à mettre toute cette quincaillerie dans un design de bombe qui soit réellement efficace, sans parler de tous les à coté d’un tel montage qui demandent non seulement des compétences très rare mais aussi bon nombre de matériaux ultra rares ou ultra repérables.
bref, oui, ce que vous avancez est possible, mais de là à dire qu’il ressorte quelque chose de fonctionnel de tout cela, je crois que ça se serait vu ... ou tout du moins je le pense.
En tout cas, je voit mal l’iran bazarder ça sur quiquonque à moins d’être sur le point de perdre une guerre dans les grandes largeurs.