Commentaire de morice
sur Alain Bashung : mort d'un apiculteur
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superbe hommage, félicitations : la facilité n’était pas son domaine, et vous le rappelez. Bashung était la preuve que la qualité finit toujours par s’imposer, n’en déplaise aux assassins de la musique comme Pascal Nègre. Son exemple, à celui-là, n’est pas très éloigné de celui des banquiers. Ils auront été RIDICULISES par un homme digne, parti sur la pointe des pieds, mais qui pouvait se regarder tous les jours en face, lui. Salut l’artiste.
Bashung, le Ronsard des temps modernes : à la place d’une rose, un Concorde :
Aucun express ne m’emmènera
Vers la félicité
Aucun tacot n’y accostera
Aucun Concorde n’aura ton envergure
Aucun navire n’y va
Sinon toi
qu’on l’enseigne donc dans les écoles !!! En France, il faut être (hélas) mort pour ça.
Derniers commentaires
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30/03 06:51 - jack mandon
Sandro Normal que tu évoques brillament ce personnage lunaire, brumeux et un peu maudit comme (...)
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25/03 18:52 - Bashunette
Oui Sandro, toi aussi t’as remarqué que dès qu’il écarte le rideau, il chope une (...)
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25/03 18:45 - Bashunette
Et le bonheur qu’il apportait à ceux qui l’aimaient, ça ne compte pas ? Pour moi (...)
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25/03 18:41 - Bashunette
Bashung n’était pas alcoolo, fumeur, grand fumeur oui. Faut pas exagérer (...)
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25/03 18:36 - Bashunette
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25/03 18:31 - Bashunette
C’est beau ce que tu dis là. Je crois que c’est exactement ce qu’il (...)
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