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Commentaire de grosdada

sur Quand la ferveur idéologique mène sur le chemin de l'irresponsabilité sociale


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grosdada 21 mars 2009 00:31

Pouf, pouf on recommence :

Il y a une crise mondiale gravissime. Qui n’a pas donné encore tous ses effets dévastateurs.

Les gens défilent pour dire :

a) Qu’ils n’ont pas aimé les histoires de retraites par capitalisation au pretexte que les states le faisaient.
b) Qui’ls n’appécient pas devoir financer, car tel sera le cas, eux et leurs enfants, des institutions financières à la rammasse, dont aucun dirigeant n’a été prié d’aller voir ailleurs.
c) Qu’ils se posent de sérieux doute sur ce "pauvre" tradeur chargé de tous les maux.
d) Qu’ils ne croient plus au système car ils estiment avoir été pris pour des c...

(J’exclu de ces gens les fonctionnaires enseignants du premier et second degré, co-auteurs de la réforme de l’EN en interne via leurs yndicats, sans faire appel aux parents, et qui a mal tourné pour eux. Un collabo arrosé en quelque sorte.)

Ce qui est en train de se passer, et qui sera sévèrement réprimé au début, cela s’appelle des troubles sociaux graves de gens qui perdant leur travail vont tomber dans le cycle de l’extrême pauvreté. Les réactions des cités vont rapidement déteindre sur des zones plus smart.

Soyons juste : la majorité des français a voté deux fois pour Chirac, et une fois pour Sarkozy. Elle se plaint de comment elle est gérée ? qu’on ne lui parle pas en adulte ?
Comme dirait le professeur Choron : Qu’elle crêve !!

Je pense que "les autres" auraient fait très différement. Financièrement (même si la marge de manoeuvre est faible) et politiquement (les allures prè-mussoliniennes du nain passent mal, très mal).

 
















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