Commentaire de Georges Yang
sur Paul Delvaux, l'étrange chef de gare
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Je me souviens d’une exposition à Paris , ce devait être à la fin des années 60 joignant Delvaux, Delville et Magritte. C’était la première fois que je contemplais autre chose que des classiques du Louvre ou des abstraits. A la même époquej’ai découvert Dali hélas presque trop tard juste avant qu’il ne devienne totalement comercial puis sénile.
Ces peintres belges sont un peu tombé dans l’oubli, depuis que Magritte est moins sujet à Posters
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22/04 15:57 - Marsupilami
@ Sandro Il est grave ton critique-dard. Faut dire qu’un type qui affiche tous ses (...)
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22/04 15:34 - SANDRO
Pour les critiques d’art autorisées, merci de traiter avec Demian West ( malheureusement (...)
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21/04 08:56 - Michel Frontère
J’avoue être un peu resté sur ma faim. Parler d’un peintre sans même esquisser une (...)
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05/04 14:46 - maxim
Parkway.... si j’avais les moyens de m’offrir les originaux ,je n’en (...)
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03/04 16:23 - SANDRO
Oui, bonne référence. De toutes façon, je vois Delvaux comme un peintre "ouvert" : (...)
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03/04 16:16 - Veilleur de Nuit
Bonjour SANDRO, Merci pour ce très bel article, riche en évocations poétiques et sentiments (...)
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