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Commentaire de Nobody knows me

sur A propos des-rappages « Sale pute » et « Suce ma bite à la Saint Valentin »


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Nobody knows me Nobody knows me 3 avril 2009 13:08

Il y a un parallèle que je trouve intéressant, c’est avec ce député qui a tué sa maîtresse et s’est suicidé ensuite.
Où était l’indignation et les cris d’orfraies à ce moment là ?
Il a eu droit à un hommage à l’Assemblée Nationale et dans les medias (dépressif, ...). Pourrait-on y voir une sorte de corporatisme politico-journalistique ?
Y a-t-il un seuil de respectabilité où l’on peut se permettre d’être plus sexiste que les autres ?
L’article suivant aborde ce thème : Géographie du sexisme. On pourrait même passer outre l’aspect géographique mis en avant par l’article mais carrément parler de sexisme de classe.
Les personnes respectables et autochtones (blancs, députés, vedettes, ...) ont toujours une excuse pour expliquer la violence qu’ils appliquent au femme, tandis que les rebus (rappeurs, immigrés, obédience différente, ...) sont des pourritures à clouer au pilori.
Pourquoi ne traite-t-on pas tout le monde de la même manière ?


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