« En tout cas, ses déplacements ne sont pas payés par l’état, contrairement à ceuxdu petit kondukator et de sa clique, qui coûtent une fortune aux contribuable, plus le train de vie de l’Elysée, qui a été multiplié par x, plus les émoluments du chef de l’état,etc, etc.....
Là, vous ne vous demandez rien ? »
Je doute fort que Ségolène paie son billet de ses deniers propres.
Le contribuable de Poitou Charente a vraiment de la chance...
Pour ce qui est de multiplier le budget de l’Elysée par x, je suis obligé de vous reprendre. En effet ce budget n’a pas été multiplié par x, mais par infini. C’est ce que l’on obtient lorsque l’on divise une somme par 0. Car le budget de l’Elysée était de 0 euros. Le président vivant aux crochets des ministères dans l’opacité la plus totale.
On a donc aucun élément de comparaison avec les prédécesseurs de Sarko.
Mais je suis persuadé qu’il y a du gras partout.
« elle a toute légitimité pour parler au nom de la moitié des français qui ont voté pour elle »
Sauf que là elle a parlé au nom de la France au mépris des règles les plus élémentaires du suffrage universel. Comme quoi les grandes leçons de démocratie sont toujours destinées aux autres.
Je remarque, qui plus est, que vous mesurez la légitimité de Ségo à l’aulne de son score du 2nd tour, et pas du 1er. C’est interessant.
Et la coloniale était en Afrique, sur ordre de qui ? De Ségolène, of course ;
Je ne vois le rapport.
La coloniale était en Afrique pour coloniser. Les militaires, leurs familles étaient des colons. Ils colonisaient. Ségolène comme les autres.
Pauvre idiot...
Vous avez des arguments de qualité.
Je comprends mieux la vacuïté qui conduit à des slogans du genre « tous ensemble, tous ensemble ».
c’est elle qui, déjà avant de naître, avait décidé de la politique extérieure de la France...
Les pieds noirs, Salan, Massu, et avant eux Lyautey, Mangin ne décidaient pas non plus de la politique étrangère de la France.
Il n’empêche. Ils colonisaient.
Allez chauffer les salles de l’UMP
Vous pensez qu’il y a un débouché ?
et ne venez pas vous targuer de parler politique
Je ne me targue de rien du tout. Je suis humble.
D’autres au contraire s’investissent de costumes beaucoup trop grands pour leurs frêles épaules.
, mon vieux
Permettez à mon tour que je vous appelle ma vieille.
; vous vous ridiculisez tout seul...
J’en connais des plus ridicules que moi. Repétez : « fraternité ! fraternité ! ».
Ca c’est de la politique ? Pitoyable !