Quand on sait que la première a avoir mentionné le réchauffement climatique est Mrs Thatcher lors d’un mouvement social dans les mines de charbon (Houlala, le charbon, beaucoup de dégagement de CO2, il faut fermer les mines ! )
http://www.liberte-cherie.com/a2751-Changement_de_climat_l_origine_humaine_du_rechauffement_est-elle_certaine_.html
Un extrait du commentaire du reportage :
"Le documentaire nous apprend que le thème du réchauffement climatique
fut très pratique pour certains usages politiques. Margaret Thatcher, à
la fin des années 80, aurait alors débloqué de gros budgets pour que
les climatologues britanniques prouvent que le charbon était dangereux
(car sa combustion dégage beaucoup de CO2 et de fumées toxiques) —
elle était alors en lutte avec les mineurs pour fermer les mines de
charbon anglaises. Aux Etats-Unis, la NASA a utilisé le thème pour
gonfler ses budgets d’études, des millions de dollars ont été débloqués
pour financer des dizaines de satellites et des centaines de
scientifiques qui bénéficiaient ainsi des recherches sur les
changements climatiques. La peur entretenue par une partie des médias
débloquait des financements publics de plus en plus importants. On
entrait ainsi dans un cercle vicieux qui prend toutes ses dimensions
aujourd’hui. A l’heure actuelle les milliards de dollars coulent à flot
pour financer ceux qui doivent faire face à la nouvelle apocalypse. Or
on doit revenir au bon sens. Vu les sommes qui sont en jeux, vu les
intérêts, ne peut-on pas se demander si la nature des fonds de
recherche n’induisent pas un biais dans les résultats ? Comment peut-on
assurer que les résultats ne surestiment pas les risques ? Les
changements prévus n’auront jamais lieux avant plusieurs générations,
donc sont invérifiables empiriquement, cela autorise toutes les
« libertés » dans l’interprétation des prévisions."
Et si on cotait en bourse les émissions de CO2 ?
Beaucoup plus drôle que le casino ! Gros rapports financiers en perspective !
Il suffira que faire aumône à quelques experts et de monter la mayonnaise dans nos médias (c’est pour ça qu’on les a achetés non !)
Et hop !
Ah, vlut, on avait pas prévu Internet