Les fantaisies de saison – la taxation des exportations, de vins, de roquefort et du Best of Patricia Kass – vont devenir le nerf de la guerre ou plus précisément des prisonniers politiques, quelque part entre l’alibi élémentaire et le mobile alimentaire.
L’industrie automobile c’est une peu comme les Dom-Tom. On les garde car cela fait partie du folklore local et l’on peut se dire légitimement que la testostérone idéologique passe par ce type de représentation symbolique appartenant à tous, même si l’on préfère une berline allemande et un week-end à Dubaï.
Le décloisonnement des territoires disjoints revient à une réalité binaire. Par ces temps de réflexion sur le fondement d’un come-back d’une bonne guerre des familles, les lois invisibles que les flux ont imposés et l’internationalisme virtuel ne peuvent exister qu’en période de statu quo.
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