C’est encore un camouflé pour la France, qui se targue de donner des conseils à tout le monde. Il y a quelque chose qui m’échappe. Comment ne peut-on pas savoir combien le Pauvre CLEM a de matières dangereuses à son bord, Amiante ou autres. Lorsque que le CLEM a été construit, on a les plans et toutes le factures au sein de la Marine ou dans le Chantier Naval de construction. Chaque partie, même la plus petite à fait l’objet de détails bien précis et particuliers. Chaques conduites, chaques canalisations, chaques protections thermiques, phoniques sur tous les ponts ont fait l’objet d’un compte de poids bien précis. Donc on peut savoir par les comptes de la Marine, la quantité exacte d’amiante utilisée à tous les niveaux. Même au kg prés. En sachant exactement la quantité enlevée par l’Entreprise de désamiantage, (ce travail ne se fait à la légère et sans contrôle ), la quantié restante exacte.
Vous n’allez pas me dire, que l’on ne sait pas exactement la quantié qu’il reste a à bord. Même, si depuis sa construction on a fait des travaux, des améliorations et des modifications, il y a toujours un état exact de ce qui a été enlevé et remplacé. Donc, la Marine Nationale sait exactement ce qu’il y a à bord de bon et de mauvais. Ou bien il y a des incompétances graves au niveau de la gestion des navires, ou bien il y a une action délibérée de cacher la vérité. Dans les deux cas, c’est incompréhensible.
Il est probable, que le Chef de l’Etat voulant éviter une expertise qui pourrait démontrer qu’il y a eu des négligences, mensonge délibéré et mettre encore plus bas sa cote de popularité.Etre désavoué et accusé de « mensonge d’Etat », il a préféré trancher dans le lard et le rapatrier en France sur Brest. Comme ça, personne ne saura la vérité vrai, car on sait que l’Armée c’est « la Grande Muette ».
Les français ne sont pas dupes. Ils ont compris que ce Greenpeace a avancé, pouvait être vrai et qu’il y avait un acte délictuel et criminel de faire porter aux indiens le mal qui ronge nos ouvriers français depuis des dizaines d’années. Tout le monde le savait que les chantiers indiens de Danang n’étaient pas équipés pour ce type de travail ultra dangereux. Il est vrai qu’en Inde, quelques centaines d’ouvriers mourrant de l’amiante n’a aucune importance. Vu les conditions de travail, c’est plûtot de l’esclavage moderne que du respect des droits de l’homme.
Déjà le Ministre de la Défense s’est complétement plantée en affirmant pratiquement sur l’Honneur, que la France respectait le Traité de Bale, alors qu’il en était rien. Le Chef de l’Etat l’a désavoué. Pour l’Honneur de la France, elle doit démissionner de son poste. En voulant sauver son semblant de crédibilité qu’il n’a plus, il enfonce ses ministres, pour rester lui seul la tête hors de l’eau. C’est un affront pour le 1 er Ministre, le Ministre des Armées et pour le Gouvernement. Sans compter ce que cela aura couté. Si on l’avait fait en France, car il était possible de le désamianté totalement et remplacer tout ce qui était amianté enlevé, le remplacer par des geuses en acier pour faire toujours le poids nécessaire à sa flotabilité. Ou tout autre moyen. On aurait gagné de l’argent et sauvé des emplois.
De toute façon, la France a perdu sa crédibilité et s’est ridiculisée au plan mondial. Une telle situation va laisser des traces à tous les niveaux. politiques, économiques et européens.
Les américains ne s’embarrasent pas de scrupules. Ils amément leux bateaux hors d’usage et servent d’exercices pour les sous marins US., en les coulant dans l’Océan Indien dans des fosses marines de plus de 2.000 metres.
Comme il y a déjà des milliers de bateaux coulés pendant les guerres, la mer est un vrai cimetière marin.
J’ai bien peur que le Vieux CLEM ne rejoigne pas la France. J’ai bien peur qu’en passant par le Cap de Bonne Espérance au latrge du Cap, comme il est fragile et qu’il trouve une tempête, la mer se chargera de le couler naturellement, sans que l’on puisse rien y faire. Ce ne sont pas 4 remorqueurs qui le retiendront. Surtout qu’il est un poids mort. Sans moteurs et sans énergie.
Ce sera pour lui, si cela devait arriver, la plus belle mort, qu’un navire de guerre puisse avoir. Il n’est pas mort au combat, mais mort dans son élément, comme un vieux soldat au mileu de ses décorations et ses faits de guerre. Je pense que tous les marins qui ont servis à bord. Du plus haut Grade ou simple marin, s’il coulait tout seul, il l’honorerait. Le voir dépecé est un déchirement de coeur.
Ce fleuront de la Marine Française doit mourir en vieux soldat et non comme un SDF.
Déjà pour son Nom « LE CLEMENCEAU ». Il mérite mieux.
Le garder à Toulon dans un coin de la Base Navale et servir comme navire à terre pour les élèves officiers et lui assurer une vieillesse heureuse. Le repeindre et le remettre en état visuel, pour nos enfants, afin qu’ils gardent dans leur mémoire ce merveilleux souvenir qu’était « LE CLEMENCEAU ».
Il peut servir encore pour beaucoup d’activité. Cela couterait moins cher, que tout ce branle bas, qui va couter plusieurs millions d’euros unitiles en va et vient. En guise d’économies bravo la France.
12/07 15:41 - Anonyme1
En 1917,en Russie,il y eut la Révolution.A St-Petersbourg (Sous Kerensky)les Bolcheviks ont (...)
17/02 18:14 - Pierre-André
Ceux qui n’ont pas servi dans la Marine ne savent pas ce que représente un navire. Un (...)
17/02 14:39 - patricemorize
Je ne suis pas militariste mais la comparaison du clem avec une vieille machine à laver me (...)
17/02 11:02 - pupuce
17/02 08:07 - Aston
Le mot « servir » a en effet disparu de la langue française dans cet usage particulier, tel (...)
16/02 21:07 - yves
Un devoir de memoire pour nos vieux navires... on aura tout vu, et pourquoi ne pas aller (...)
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