A Gül pour l’amusement.
Avec opéra, j’éprouve quelques difficultés à poster, ma chère Gül. Je n’ai pas envie de changer de navigateur. Bon, je vais donc essayer l’envoi de ce post pour te dire que tu as parfaitement raison de ne pas répondre aux sollicitations de Calito qui n’est pas digne de confiance parce qu’il n’est qu’un menteur, qu’un manipulateur… de basse-cour.
Les plus beaux combats sont ceux que nous menons seul contre tout le monde. Appeler à la rescousse une communauté pour avoir le dessus n’est qu’une faiblesse de l’esprit.
Calito n’est donc qu’un faiblard.
Regarde donc la réputation des normands à l’époque de leur splendeur en Italie du sud voici un récit de ce moine bénédictin et chroniqueur italo-normand du XI siècle, Geoffroi Malaterra, c’est de l’authentique :
Les Normands sont : « particulièrement adroits, dédaignant leur propre héritage dans l’espoir d’en acquérir un plus grand, uniquement avides de gains et de domination, tendant à toutes sortes d’imitation, tenant le juste milieu entre la prodigalité et l’avarice, ayant sans doute réussi à unir ces deux valeurs apparemment opposées. Leurs chefs faisaient particulièrement preuve de faste par désir de se faire bien voir. C’était d’ailleurs une race habile à la flatterie, portée sur l’étude de l’éloquence, de sorte que les garçons étaient des orateurs, une race tout à fait déchaînée à moins d’être fermement retenue par le joug de la justice. Ils étaient durs au travail, à la faim et au froid toutes les fois que le hasard les y soumettait, portés sur la chasse et le colportage, fascinés par les chevaux ainsi que tous les équipements et les armes de guerre. »
Pauvre Calito, si tu veux des baffes, tu n’as qu’à le demander poliment, c’est gratuit.