"Le fait que les banques commerciales cesse de verser un taux d’interet
a la banque centrale plairerait pour la probabilité que le taux
d’interet aux emprunteurs serait plus faible que le taux d’aujourdhui.« : Pas d’accord. C’est une vision mécanique des choses, qui ne tient pas compte de l’élément humain. Les directions des banques sont, par nature, avides. Pour comparer avec la téléphonie mobile, le fait qu’il y ai trois opérateurs n’a rien changé : ils se sont entendus sur les tarifs à appliquer et même l’arrivée d’un 4è opérateur ne diminuerait que faiblement les tarifs acteullement en vigueur.
»Mais les victimes d’un tel effondrement sont les actionnaires, et les
divers creanciers de cette banque. L’Etat ne perd rien lorsqu’une telle
banque s’effondre.« : Faux encore. Les actionnaires perdent, mais aussi les clients, qui voient partir leurs économies en fumée ainsi que le contenu de leurs comptes en banque. Et comme il n’y a aps de Banque Centrale pour couvrir leurs arrières, les clients floués n’ont aucun système de sécurité pour les protéger.
»les villes frontalieres sont habituées a travailler dans pluseiurs devises" : Je ne suis que partiellement d’accord. Une frontière est la limite entre deux pays. Donc deux monnaies. Les cas ou il y ait un point frontière partageant trois ou quatre pays sont assez rares et concernent plus les pays exotiques aux frontières tarabiscotées. Cela ne changerait rien au fait que pour dépanner un ami, il vous faudrait changer votre billet de la banque A contre un de la banque B ou se trouve votre pote. Donc taux de change, frais de changes...