De deux crétins notoires, Gazi Borat et Morice, dont on connaissait la bêtise, on découvre qu’ils n’ont qu’un seul disque, de surcroît le même, dans leurs juke-box respectifs. Le premier ravi écrit :
« ISLAMISATION » Autrefois, dans les mêmes cercles de pensée, on multipliait les conférences sur :« L’enjuivement » même les expositions pédagogiques : http://www.dailymotion.com/video/x12fvn_le-juif-et-la-france-1942_news » (10h57)
Quant au second, un peu plus « structuré », il geint : « …l’islamophobie va remplacer la haine du juif de 40, et que ceux qui vont en profiter sont les gens d’extrême droite qui attisent ce nouveau racisme déguisé... » (11h08)
Malheureusement, pour ces deux ignares, le problème musulman n’a strictement rien à voir avec le « problème juif » des XIXe et XXe siècle. A cette époque, les Juifs étaient surtout combattus pour leur influence réelle et supposée sur les gouvernements, du fait de leur capacité de manoeuvre financière.
Au début des années 1920, le Petit Larousse illustré donnait comme définition de l’antisémitisme : Doctrine de ceux qui sont opposés à l’influence des juifs. Nous sommes donc, à cette époque, en présence d’une minorité dont certains estiment le poids excessif.
Et d’une minorité destinée à le rester puisque, à la veille de la Deuxième Guerre mondiale, la population juive du monde était de quinze millions de personnes, en tout et pour tout.
Avec les musulmans, il en va tout autrement. Rien qu’en Europe, ils sont actuellement déjà cinquante-cinq millions dont vingt dans l’U.E., ils sont en constante augmentation et ils disposent d’un stock de plus d’un milliard et demi de fidèles pour alimenter la sournoise invasion qui est en cours.
A la différence des juifs, les musulmans ne sont ni discrets ni réservés, ils revendiquent au fur et à mesure que leurs communautés acquièrent plus de poids, pour que les sociétés qu’ils « métastasient » soient adaptées aux exigences de leur foi et du système politico-social qu’elle induit.
C’est cette adaptation des sociétés qu’on appelle l’islamisation. Elle est en cours partout, mais désormais partout aussi la résistance s’exprime et se développe. Elle réunit des gens aussi différents que :
- l’Italienne Oriana Fallaci, journaliste décédée et engagée dans toutes les causes « progressistes » de la seconde moitié du XXe siècle,
- le Hollandais Geert Wilders, dont le parti, selon les derniers sondages en date, devrait remporter les prochaines élections législatives,
- l’Allemand Ralph Giordano, écrivain rescapé de la Shoah,
- le Norvégien Steinar Lem, écologiste de gauche qui tire, son tour, le signal d’alarme « Oslo aura bientôt une majorité de non-occidentaux, et la même chose pourrait se produire dans tout le pays à un rythme soutenu au cours de ce siècle. La plupart des non-Occidentaux sont de culture musulmane. Les conséquences seront dramatiques. »
- le Danois Nicolaj Sennels, psychologue attaché à la prison des jeunes de Copenhague, auteur d’un livre intitulé « Parmi les criminels musulmans. L’expérience d’un psychologue à Copenhague » et qui conclut, définitif : « L’intégration des musulmans est impossible ».
- le Français René SERVOISE, ancien ambassadeur de France en Indonésie qui nous prévient : « …deux dynamiques vont se développant : l’une à l’intérieur de nos frontières (accroissement du nombre de Musulmans) ; l’autre à l’extérieur (renaissance de l’Islam). Concomitantes et convergentes, ces évolutions sont déterminantes pour l’Europe, et pour la nation française dont la stagnation démographique est alarmante. »
Alors que pèsent les glapissements choraux de demeurés inconscients comme Gazi Borat ou Morice face à ces voix autorisées, dont on espère seulement que nous n’auront jamais à constater qu’elles nous ont prévenus en vain ?