La question qu’il faut se poser est celle-ci : À qui va profiter cette épidémie ? À big pharma bien sûr pour vendre des vaccins et des médicaments aux frais des contribuables (les moutons).
L’autre question qu’il faut se poser : De quelles sources peut provenir cette épidémie ? Soit d’une source volontaire comme dans les cas des autres épidémies comme la gripppe aviaire lancée par Donald Rumsfeld, actionnaire d’une compagnie pharmaceutique (SEARLS) par lequel ils avaient créé le virus en laboratoire pour le lancer en asie quelque part dans l’industrie de la volaille et faire passer sur le dos des volailles cettte épidémie comme étant la seule origine responsable, alors que dans les faits réels, il y avait un complot bien orchestré avec big pharma et Monsanto. Ils faisaient d’une pierre deux coups ; d’une part ils prenaient le contrôle total sur l’élevage des volailles et des volailles biologiques et même du gibier en général pour justifier l’introduction des poulets transgéniques de Monsanto résistant à la grippe aviaire, et d’autre part ils empochaient des milliards de dollards sur le dos des contribuables.
Ce fût le même scénario à Toronto il y a quelques années pour le virus du SRAS comme dans toutes les années antérieurs qui se réfèrent à cette équation :
Problème - Réaction - Solution. On créé le problème, on gère la réaction au problème que l’on a créé et on apporte la solution drastique au problème ainsi créé, avec l’appui des médias de masse et des institutions du mensonge organisé. C’est une très vieille méthode qui remonte à Babylone et à Sumer. Cette méthode a toujours existé.
En passant pour terminer, les cas qui ont été découverts au Canada et en France, sont très isolés et présentes des symptômes de grippe ordinaire comparativement aux Mexicains. Mais on déclare l’état d’urgence parce que c’est un nouveau virus. La vaccination deviendra obligatoire une fois le vaccin développé pour s’assurer de ne pas transmettre le virus porcin à autruis. C’est ce qu’on indiqué les autorités privilégiant l’utilisation d’un médicament antivirus ou d’un vaccin alors que des masques ont été fournis pour les usagers du transport en commun au Mexique. Et on utilisera des mesures de surveillance sans scrupule et intimité.
En plus, je vous avais bien dit que notre gouvernement trouverait une raison d’utiliser les millions de doses de Tamiflu qui expire cet automne 2009. Tous ces millions de dollars auraient été perdus. Maintenant on pourra empoisonner tout le monde avec ce médicament dont la réputation toxique pour ses effets secondaires sont maintenant connus.