Si les constructeurs semblent (re)découvrir l’intérêt de la voiture électrique, celle-ci ne date pourtant pas d’hier en effet, ni même des années 1990… mais de la moitié du XIXème siècle, bien avant l’auto à combustion ! Dans son article : « Qui a tué la voiture électrique ? » publié sur Yahoo.com, le journaliste Grimpet raconte que l’on doit cette invention à un Ecossais du nom de Thomas Davenport vers les années 1830 et que, dans le New York des années 1900, toute une flotte de taxis fonctionnait à l’électricité. Près de 300 constructeurs se partageaient le marché de l’énergie électrique (environ trente mille véhicules) jusqu’à ce que les modèles roulant au diesel et à l’essence s’imposent pour des raisons « pratiques » toutes simples. L’auteur de l’article explique que les fabricants d’autos électriques n’ont pas su trouver la solution pour pallier la faible autonomie de leurs véhicules (quelques dizaines de kilomètres à l’époque) et adapter leurs modèles à l’extension du réseau routier américain qui relie l’est à l’ouest du pays, ce qui a signé la fin du développement de l’énergie automobile électrique. Le lien vers l’article Qui a tué la voiture électrique ? de F. Grimpet (16 octobre 2007. yahoo.com) : http://fr.cars.yahoo.com/16102007/321/qui-a-tue-la-voiture-electrique-0.html
On peut aussi supposer que les autos électriques proposées à l’heure actuelle sont peu attrayantes de manière à ne pas trop vite concurrencer les autos hybriques qui, elles, fonctionnent toujours à l’essence... Question de rentabilité à court terme !