« Que viennent faire des listes « antisionistes » dans un débat européen ?
Israël est-il un pays européen ?
La palestine Arabe est-elle européenne ? »

frédéric lyon

Le sionisme ne concerne pas uniquement Israël ou la Palestine. Le sionisme s’est immiscé au sein des institutions de la République, et guide nos dirigeants relativement à la position de la France, ou de l’Europe, au Moyen Orient (entre autres). Chacun a pu le constater à Durban II par exemple. Mais ne l’avais-tu pas déjà remarqué ? Pourtant ça saute aux yeux.

Pourquoi crois-tu que notre Président et nos ministres vont au dîner du CRIF ? Pourquoi crois-tu que les violences perpétrées par le BETAR ou la LDJ ne sont jamais réprimandées ? Pourquoi ces milices ou ligues s’entraînent-elles à l’intérieur de bâtiments officiels protégés par la police ? Pourquoi Bruno Guigue a-t-il été limogé par MAM sous prétexte qu’il a donné son opinion quant aux injustices subies par le peuple Palestinien ? Pourquoi crois-tu que c’est le silence absolu concernant les massacres à Gaza, ou dans toute la Palestine depuis des décennies (même de Gaulle dénonçait le sionisme et ses malfaits) ? Pourquoi l’Elysée reçoit des dirigeants politiques israëliens d’extrême droite passibles de condamnations pour crimes de guerre ? Pourquoi le seul « argument » hors de propos avancé par Guéant et consorts pour contrer et discréditer le parti de Dieudo est le fameux (classique) « antisémitisme » ? Pourquoi y a-t-il demande d’interdiction du parti de Dieudo, alors que cette demande est anticonstitutionnelle (du jamais vu, même pour le FN) ?

La réponse à toutes ces questions tient en un mot : sionisme. Le parti de Dieudo fait peur aux traîtres, aux incapables, aux hypocrites qui se passent le relais du pouvoir depuis trop longtemps. Ils vont tout faire pour briser ce parti, car ce parti dénonce, pas de langue de bois. D’ailleurs pourquoi en faire tout un plat si le sionisme au sein des institutions françaises n’était que le fruit de l’imagination de certains citoyens ? Si l’Elysée prend part au « débat », ce n’est pas anodin.