Vous dîtes : "Ceresole attribuait ainsi la responsabilité de l’attentat perpétré
contre la communauté juive de Buenos Aires en 1994 aux services secrets
israéliens.« Entre nous cela n’est pas plus délirant que le complot islamiste. A ce titre : »Huit ans après cet attentat, le 10 novembre 2006, le quotidien du matin La Nación,(le premier journal argentin) qu’on peut difficilement classer parmi les médias critiques à l’égard de Washington et de Tel-Aviv, a lui aussi conclu : « Les preuves manquent dans le rapport » de l’Argentine. Son analyse souligne que l’affaire AMIA s’est convertie en « question de foi et non de preuves ».
De fait, les preuves argentines ont été jugées insuffisantes par
Londres, pourtant fidèle allié de Washington. Interpellé au
Royaume-Uni, M. Hadi Soleimanpour, ambassadeur iranien à Buenos Aires
en 1994, a été relâché faute de
preuves en novembre 2003. La justice britannique considère alors que le
matériel argentin appuyant sa demande d’extradition « ne remplit pas, prima facie, les conditions probatoires exigées par le Royaume-Uni"
Enfin, il y a une chose que je ne comprends pas, vous présentez Norerto Ceresole comme le grand ami d’Hugo Chavèz, puis vous soulignez qu’il a été expulsé du Vénézuéla. Ce n’est pas clair.