Bonjour,
Certains de vos commentaires sont intéressants.
Apparemment nous avons une vision différente de l’état actuel des choses.
D’après mon expérience, il y a beaucoup plus d’entreprises qui utilise des logiciels sans en payer la licence.
La crise n’est pas une excuse pour ne pas s’en acquitter ou alors il est toujours possible pour une entreprise avec peu de moyens d’utiliser des équivalents en logiciels libres.
Le but de cet article est de souligner 2 choses :
- HADOPI s’en prend aux internautes qui eux ne font aucun bénéfices financiers (dans la majorité des cas). Il serait plutôt nécessaire d’informer ces internautes de l’existence des équivalents en logiciels gratuits.
- il est aujourd’hui plus que toléré pour une entreprise d’utiliser des logiciels sans s’acquitter des droits de licence et gagner de l’argent dessus, ce qui est peu admissible.
Il n’y a toujours pas ou très très peu de contrôle effectué.
Par rapport à certains commentaires, voici ce que j’ai tenté d’expliquer dans cet article :
- je pense qu’HADOPI se trompe de cible et propose des solutions inadaptées.
- à l’avenir la licence globale sera la seule solution viable, elle est déjà en étude par certains politiciens.
- tout bénéfice commerciale (pour une société) à partir de logiciels doit être sanctionné si l’ont ne possède pas les licences (crise ou pas crise), c’est respecter le travail des développeurs. Ou sinon utiliser des logiciels gratuits.
Certes, je reconnais que l’article est un peu court mais je ne voulais pas forcément reprendre tout ce qui a déjà été dit dans des articles très bien rédigé sur Agoravox.
Finalement la phrase de conclusion résume bien l’article : l’État français cherche à protéger les entreprises et de l’autre côté à punir les citoyens.