>- Les banques centrales ne fixent pas les taux d’intérêts de façon
>arbitraire, elles se contentent de les fixer à partir des reflexions
>qu’elles se font sur la situation économique (croissance, inflation,
>quantité de monnaie en circulation, etc.)
Quel joli euphémisme pour dire arbitraire !
On est bien d’accord. Les taux d’intêrets ne sont pas fixés avec une offre, une demande et les préferences temporelles de millions d’acteurs.
Un groupe d’experts planifie les taux d’intérêts à partir de modèles mathématique à la fiabilité douteuse et d’une ‘intuition’ sur l’état de l’économie.
Puis les fixe. Mal visiblement comme le prouve le « petit » accident monétaire actuel.
>- Les banques n’ont que le privilège de créer la monnaie dont leurs
>clients (solvables, du moins en principe) ont besoin et dont ils demandent
l>a création pour faire face à leurs obligations et à leurs échéances.
C’est bien ce que je disais. Elles créeent la monnaie ex-nihilo. Comme des faux monnayeurs dans leur cave.
>Il n’ a aucune raison de baser la quantité et la valeur de la monnaie en
>circulation dans une économie sur un métal, dont la quantité produite à
>l’instant « t » n’a aucune raison de correspondre à la quantité de monnaie
>nécessaire pour faire tourner nos économies au même instant.
Vous n’en voyez pas. Moi si. Parceque personne n’est capable de connaitre la quantitée de monnaie necessaire pour faire tourner nos économies.
Même si des planificateurs soviétiques des banques centrales qui affirment le contraire –et tout en se plantant magistralement régulierement-. La planification cela ne marche pas.
Ce que je propose du reste n’est même pas de supprimer immédiatement les banques centrales.
On autorise la signature de contrat en or et l’on enlève la taxe sur l’or à chaque transaction.
Ainsi chaque personne sera libre de choisir :
-Une monnaie diluée à volonté par des experts qui veulent notre bien (les banques, les Etats etc..)
- une monnaie que l’on peut eventuellement extraire (en très faible quantitée), mais que personne ne peut diluer arbitrairement.
On verra bien ce que les gens choisiront. (avant qu’on leur interdise l’or, les gens avaient choisi : l’or.)