Pourquoi dès que l’on critique votre pensée , l’on est forcément un
ennemi du peuple. Je viens du peuple. J’habite en province. Je ne
critiquai pas le peuple , je faisais juste remarquer que vous étiez
très méprisant vis-à-vis de mes arguments ce qui , venant de quelqu"un
pronant la démocratie , était assez cocasse.
Vous critiquiez le peuple en pensant qu’il ne
puisse prendre des décisions, dans une démo cratie, vous critiquiez
donc la démocratie. Dans cette vision hypocrite (ou cynique ) il
faut les assister il leur faut une élite, une classe supérieure
toutes belle (nulle ) et gentille pour les servir, et le peuple sera
toujours bien servis et jamais desservis, contrôlé, jugulé,
étriqué, « nourris pour survivre avec les miettes » et non
vivre du fruit du produit de son travail ( non volé à 90% , qui
aujourd’hui servent ce que vous acceptiez , incluiez dans la logique
: une élite, des rapaces, des vautours, les riches, dans le
sens ou ils sont tellement riches qu’il n’ont pas besoin de
travailler et qu’également ils n’ont pas envie de partager dans leur
accroissement de richesse perpétuel, donc on ne parle d’une "classe
moyenne", on parle de ceux qui détiennent le monde, la société,
son fonctionnement, ses lois, et les humains, les ressources
humaines, le capital humain prête à servir à tout). Dites-moi vous
faut il des lunettes pour voir les sociétés de l’histoire, comment
elles fonctionnent, à qui elles profitent. Et qui doit toujours se
soumettre ? Qui est perdant ? L’actionnaire ?
"« un petit encart pour vous signaler
que votre bon mot »c’est le balbutiement« laisse entrevoir le niveau
des débats dans votre future démocratie. Si je me suis permis de
discuter avec vous , c’est que je pense avoir un argumentaire asez
solide pour me lancer ». Si déja vous n’appliquez pas vos principes à
vous-même , votre belle utopie risque de finir en eau de boudin« «
»....Il est très beau de dire : vive la démocratie. Je ne veux plus de maître. Je ne suis pas comme vous , je ne les accepte pas... ;"
Non monsieur votre phase critiquait le débat.
Vous preniez les sens des mes mots pour d’autres, le sens de
démocratie pour autre chose que ce qu’elle signifie, une vérité
contre toute autre fausse vérité dispersée actuellement dans
toutes les sociétés du monde et une large fraction d’individu qui
la compose. Le débat est houleux, c’est un clash, il ne doit pas être consensuel,-
un débat de fausses apparences et de compromissions-, il doit être
vrai, fait de vérité logique, ou scientifique, ou raisonné. La
vérité peut blesser, alors elle doit blesser, pour qu’il y ait une
réalité vraie. Les débats doivent rester au niveau politique,
il n’est pas question de juger d’autre valeur que des valeurs
politiques pour la liberté d’exister et d’être en tant qu’individu
libre dans sa sphère privée.