Je m’excuse d’avance pour ma probable naïveté, mais, il manque pas quelques liens de corrélation logique dans cet article ??
je cite l’intro (et la base de la problématique)
"« je serai sans pitié à l’égard des trafiquants et de ceux qui se sont permis d’attaquer des policiers ».
À l’évidence, derrière ce dérapage verbal il y a un calcul certain et
une volonté démagogique puissante de stigmatiser encore un peu plus les
quartiers populaires.«
D’abord, en quoi cette phrase est elle un dérapage ? Où fait elle mention stigmatisante des quartiers populaires ? (Si ce n’est dans l’interprétation affirmative et sans explication par l’auteur de l’article).
Accessoirement, je comprends qu’on puisse regretter que la ministre ne se fasse pas de déclaration au sujet du rapport d’amnesty interntional, cela dit, si elle n’avait pas fait de déclaration sur cette agression envers les force de l’ordre, cela eut juste été un double manque de déclaration au lieu qu’il soit simple, je ne vois donc pas l’intéret de cette mise en balance, ormis pour tenter un mauvais étayage du mauvais adage »deux poids, deux mesures« .
Car enfin, pour compléter le tableau : »nous invitons Michèle Alliot-Marie à se prononcer sur
l’affaire des policiers municipaux de la ville de Cannes qui ont fait
l’objet d’une discrimination abjecte de la part de leurs collègues de
travail au titre de leur orientation sexuelle différente[...]C’est
donc ce deux poids deux mesures qu’il s’agit de mettre ici en exergue,
notamment en matière de dénonciation d’affaires qui pourtant concernent
toutes le ministère de l’intérieur.« .
Précisément, non, la Police municipale ne dépend pas du tout du ministère de l’intérieur, elle dépend (comme son nom l’indique) de la municipalité. Cela dit, l’’amie Michelle aurait pu se fendre d’un commentaire sur le sujet, elle a le droit de s’exprimer comme tout un chacun, mais aucunement dans le cadre indiqué, ce qui ajoute »un peu" de confusion à ce qui se voudrait le point d’orgue de l’article.