la question : faut il agir ? et comment agir.
Vous pouvez être contre certaines formes d’action, mais vous ne pouvez être contre le fait d’agir : quand il est légitime d’agir.

1. nous ne sommes pas en démocratie.
2. il y a des injustices.
3. Nous pouvons le systeme ( cad en profondeur ) par la politique.

Et c’est simple : acceptez vous ou non ce contrat ? http://eminencia.org/peut-on-accepter-linacceptable/

Qu’est-ce qui fait le plus de dégât ? Qu’est-ce qui est le plus violent ? Quelle violence est légitime ?

• La conduite d’un système violent, la société, avec ces violences ‘non dites ’, sa violence structurelle, sa violence symbolique, sa violence implicite, sa violence éparpillée, mais non moins diffuse. La société est organisée en classe sociale, qui oserait interdire la lutte des classes. La lutte des classes implique une lutte ; quand une partie de la population (ou ses considérations) est exclue du champ politique ou médiatique - sans forcément adhérer au système politique et partisan qui est faussement démocratique (1) -  ; quand cette population n’est pas défendue, et quand on veut la jeter hors du champ politique ( et médiatique) que lui reste t’il ?
  • Se renforcer en tant qu’ apolitique, renier le système, et vouloir en créer un autre. Ce qui peut vouloir dire s’éloigner du système actuel pour un système (’libertaire’) , et où le combattre avec plus de force pour chercher à le remplacer (révolutionnaire).
  • Et si le mal, la violence ce n’était pas que les autres ? (merci de vous poser la question)
  • Est ce que c’est toujours le plus légitime de tenir aveuglément pour le fort ?
    
• Des citoyens faisant preuve de violence, qui veulent changer les choses et qui usent eux aussi de violence. Ce qu’ils visent avec force (vis=force ; violence) c’est le système, ils ne visent pas à exterminer une population.
  • La parole, le dialogue, la communication sont des substituts de la violence  : cependant, tout le monde n’est pas écouté,tout le monde n’a pas de tribune, tout le monde n’a pas l’importance, et le capital, et devinez qui n’est pas écouté ?
  • De plus, Est ce que celui qui critique le système se fait écouter de ceux qui composent le système et y ont tout pouvoir, et tout pouvoir de violence ? (bien sur qu’ils auront tendance à défendre le statu quo : donc leur pouvoir).