sujet scabreux et difficile dont vous en êtes sorti avec beaucoup de tact et de talent ,bravo mr l’auteur-------------------on aurait pu craindre le pire ,mais vous avez transformé un sujet à la fois léger et scabreux en un sujet sérieux et intéressant ,et comme l’article très bien écrit est réussi dans sa forme comme dans sa plaidoierie ,bien que je sois hostile à la zoophilie ,je vous ai plussé 

mais bien qu’il n’ ya pas plus libéral et avant-gardiste que moi en matière de sexualité ,j’ avoue que là je suis dépassé ,je n’arrive pas à comprendre qu’on puisse désirer avoir une relation sexuelle avec un animal même dans des circonstances exceptionnelles ,pour moi c’est une horreur ---------mais peut-être que je suis trop esthète ,je trouve les animaux tellement laids physiquement----------------------je ne pourrais le comprendre que comme un phantasme sexuel à la limite de la perversion ,car comme vous le dites dans votre axiome en matière de sexualité il ya de telles bizarreries qui sont au delà de toute imagination et de tout jugement moral 

 
la loi condamnerait l’acte sexuel avec un animal comme une forme de maltraitance envers les animaux ,c’est ridicule ,au contraire ce serait trop faire honneur aux animaux que les humains aient des relations sexuelles avec eux en élevant le règne de l’animal au niveau de l’humain ,le motif de condamnation pour moi serait une dégradation de l’être humain au rang de l’animal,

mais d’un autre côté ,si on condamnait la zoophilie pour ce motif ,on condamnerait le fétichisme qui serait encore pire comme dégradation ,on pourrait alors condamner tout phantasme sexuel---------------------c’est pourquoi je ne suis pas pour une pénalisation de la zoophilie ,chacun est libre en conscience de pratiquer en privé un acte ou phantasme sexuel à l’exception de la violence réelle ,mais seulement pour l’interdiction d’image ou d’affichage publicitaire envers ce phantasme tellement horrible pour moi comme d’ailleurs pour la scatophilie