Bonjour François,

" Partage non commercial ? Défendrez vous une nouvelle exception au droit d’auteur à des fins de partage non commercial d’œuvres numériques ? Éventuellement, décrivez avec quelle contrepartie en matière de financement et rémunération de la création. « Aujourd’hui, il y a la possibilité de produire en direct un concert de vingt quatre heures quasiment infini sur lequel viendraient se greffer tous les jours d’autres misiciens. S’Il se trouvaient certaines séquences devenant culte en engendrant des taux d’écoutes conséquentes, il sufffirait de soumettre à la vente les demandes de réécoute. et l’éxcédent donnerait aux musiciens un droit d’ouverture dans les plus grands studios. Ce qui fit le succès immense de Jimi Hendrix, est la méthode qu’il imposa lui-même en matière de séances d’enregistrement. Il imposait impérativement, puisqu’il payait, que l’opérateur appuie sur le bouton » on air " à quatorze heures précises. Lui, arrivait juste après s’être shooté et se jetait immédiatement sur son instrument. il n’avait qu’à activer son potard de guitare pour laisser couler la rivière, que dis-je la cascade de son inspiration en pleine ascension. Et gare à la moindre contrariétés...Résultat, il reste peut-être encore des dizaines de bandes susceptibles d’être produites dans l’avenir. La mine devient aussi inépuisable que les droits d’auteurs ont été repoussé a 99 ans, c’est à dire quatre générations. C’est le système qu’ont exploité les lieux ouverts au public qui ont fini par produire leur propre musique se défendant ainsi les frais de droits d’auteurs à retourner aux majors. Aujourd’hui en espagne, toutes les boites de nuit produisent leur propre musique et la diffusent gratuitement sur des radios. Leur principal revenu consistent en les entrées de boites.

Cordialement.