Je vous conterai une anecdote imputée à un Tartufe arabe, nommé Jouha, qu’un jour j’avais par ici rapportée :
Jouha était un négociant très vicieux.
Après quelques mauvaises affaires il fut contraint à brader sa luxueuse maison pour un prix dérisoire.
Devant une telle mauvaise providence, il imposa à l’acheteur de rester
possesseur d’un clou implanté dans l’un des murs de la maison, dont il
devait garder la pleine jouissance (sans qu’il n’en soit enlevé - donc
droit d’accès compris). Condition très légère que le naïf acheteur
s’empressa d’accepter, sans en peser les conséquences. Le marché fut
donc rapidement conclu.
Après la conclusion de l’affaire, que fit Jouha ?!!
Il se mit à réclamer trop fréquemment le droit de jouissance du clou implanté dans son ancienne maison.
Il se mit à visiter son ex-maison à une fréquence (matin et nuit,
quelle que soit l’heure) telle que les nouveaux acheteurs en perdirent
leur raison et décidèrent de revendre la maison.
Ils ne trouvèrent aucun acquéreur, car tous les habitants du village
connaissaient le risque d’une telle acquisition : le clou de Jouha.
Les propriétaire décidèrent alors de se débarrasser de leur maudite
maison, coûte que coûte, en la bradant à Jouha à un prix largement
inférieur au prix d’achat initial, car Jouha prétextait que son clou
avait prit de la plus-value (contrairement à la maison).
Cernez-vous la nuance ?!!!
La Kabylie n’est en fait qu’un Clou de Jouha de plus pour le néocolonialisme. Ce néocolonialisme engagé dans une marche forcée contre le Sud, sous mandat et pour le profit exclusif de l’hydre sioniste.
En d’autre terme, il s’agit du concept : diviser pour mieux régner.