Rigoline a-t-elle préféré la Rétaline ou autre « substance psycho-active » ?
Si Rigoline a écrit un article informatif sans avoir, dit-elle « la science infuse ». Elle nous tient donc informée de son choix d’avoir mis son enfant sous « traitement » une de ces substances que les laboratoires, ont appelé « médicaments » pour mieux pouvoir vendre les molécules découvertes dans le rayon de la pharmacopée, sinon on ne voit pas bien qui en consommerait.
Autrement dit n’ayant pas la science infuse elle a suivie les conseils de ceux qui l’auraient.
Il faut quand même attirer l’attention de Rigoline et lui appeler ici que ces substances, avant d’être des médicaments pour une vertu thérapeutique qu’ils auraient, ce sont avant tout des substances psycho actives comme le sont toutes sortes d’autres substances dont les drogues prohibées par la législation pour les effets dévastateurs que l’ont connaît.
Les symptômes décrits se manifestent surtout au niveau comportemental et en déduire aussi facilement des causalités neurologique ou génétique est une extrapolation qui demande encore à être démontrée. Les troubles comportementaux comme l’instabilité (le fait de bouger sans arrêt) crée très tôt des troubles fonctionnels de l’attention et une fatigabilité plus grande.
Les difficultés d’apprentissage qui en découlent ne sont que des troubles associés. L’origine des tensions étant psychologique l’enfant tente de réduire ces tensions internes par des décharges motrices et une labilité de l’attention qui le détourne des objets sur lesquels se fixe son anxiété.
L’hypothèse d’un déséquilibre neurologique qu’il faudrait traiter d’une manière pharmacologique peut-être grave de conséquences pour les enfants.
L’argument d’un effet pharmacologique réducteur de l’anxiété et bénéfique aux niveau des apprentissage n’est pas recevable face aux effets au long cours que ces substances auront sur l’enfant. La thérapeutique la mieux adaptée et sans effets secondaires est celle d’une prise en charge psycho-éducative par un bon professionnel spécialiste de ces problèmes.
Travailler à une hypothèse relationnelle des troubles et une remédiation à partir du langage ne présente par contre aucun danger. Elle n’a comme obstacle que la résistance des adultes-parents ayant l’enfant en responsabilité Elle trouve son origine dans cette culpabilité inconsciente à l’égard de l’enfant dont ils ne voudraient rien savoir.
Un vrai professionnel de la psychologie se donnera pour but de désamorcer cette culpabilité pour que puisse advenir une réflexion sur les choix éducatifs et les modalités relationnelles au sein de la famille.
Cet article devrait être l’occasion de pointer du doigt les dangers que fait courir aux enfants cette approche non adaptée de la problématique.
J’espère que rigoline n’aura pas à se repentir de s’y être laissée entraîner. Je lui conseille d’are-d’are d’aller prendre l’avis d’un psychologue de l’éducation ou d’aller consulter dans un CMPP (Centre Médico-psycho-Pédagogique) où elle pourra trouver des personnes de bon conseil.
05/06 17:11 - Rigoline
La seule chose que je trouve malheureuse dans des cas comme cela, c’est de voir que (...)
05/06 16:59 - civis1
la question est remise sur le tapis par un article de ce jour . DEUX ANS effectivement ! Je (...)
05/06 15:30 - Rigoline
Ouf ! Je ne croyais pas qu’après près de deux ans il y aurait encore tant de réactions (...)
05/06 15:17 - civis1
Rigoline a-t-elle préféré la Rétaline ou autre « substance psycho-active » ? Si Rigoline a (...)
05/06 14:05 - LOL
05/06 13:46 - LOL
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