Meilleure analyse sur le sujet publié sur Avox...
victoire en trompe l’oeil de l’UMP = oui.
Le total des voix de gauche est supérieur à celui des voix de droite = oui et c’est la droite qui va exercer le pouvoir.
Le PS accepte les termes du traité de Lisbonne et se fait l’allié de la droite libérale pour une « concurrence libre et non faussée » un objectif de l’Union Européenne ? Sauf que la concurrence étant libre tous les coups son permis (concurrence faussée par les lobbies) et dans les mains de l’ingénierie financière la monnaie ne peut pas jouer le rôle régulateur au niveau de l’économie réelle.
L’enjeu était d’une importance capitale : une Europe de droite, libérale et une Europe de gauche, sociale. Aucun parti n’apparaît vraiment sous cet enjeu là : des erreurs de communication et le mot « gauche » qui a perdu de sa symbolique.
Europe-écologie est une liste composite qui ne structure pas la vie politique = oui. On peut s’attendre au niveau politique à un arbitrage « désordre » face aux tentatives de récupération qui ont déjà commencé. Mais la question d’un développement durable reste la question prioritaire.
Au PS avec ce sondage en live, le réveil est dur ? Croyaient-ils encore faire illusion en laissant notre république laïque et solidaire aux mains de la voyoucratie internationale ?
Ils viennent de payer le choix politique qui était le leur :
1) La collaboration au niveau de l’union européenne à une constitution sans Europe Poltique ni Europe Socile.
2) Un non dit : Laisser , au niveau national, gouverner la droite pour mieux utiliser le vote militant et l’emporter dans les autres élections. Le choix politique du PS qui était d’entretenir au niveau régional et
départemental une classe politique importante ( des caciques qui
utilisent la grogne sociale pour s’y approprier le pouvoir) a vêcu.
L’image politique du PS risque d’être entamée durablement... et comme pour l’élection présidentielle précédente, les médias alignés ne se priveront pas de choisir , en le faisant mousser, le challenger de gauche sur le critère du meilleur perdant crédible.
Le message est clair : la France n’est plus le pays démocratique qu’elle était. Tout est vérouillé : au niveau médiatique, politique, syndical et éconimique. Plus de séparation des pouvoirs les électeurs le savent et ne sont pas allés voté dimanche" dernier.