@muadib
"Et, au passage...le problème n’est pas que le feu déclenche les
explosifs...mais soit qu’il mette le système de mise à feu HS ou qu’il
le déclenche (le système de mise à feu). Qui déclenchera à son tour les
explosifs."
Faut évoluer mon vieux, les systèmes de mise à feu ont un peu changé depuis le pont de la
rivière kwai, c’est plus une paire de fil relié à une gégène. Tout peut se faire par radio commande, comme c’est le cas
d’ailleurs pour les feux d’artifices modernes.
Si l’on admet la possibilité de la mise en place d’un système de mise à feu dans les tours déclenché par la percussion de l’avion, c’est l’évidence même que ce système sera conçu pour parfaitement résister aux premières destructions causées par le choc initial.
Il faut également se rappeler que seuls quelques étages ont été initialement touché, une petite dizaine je crois, ce qui en fait a laissé, à ce moment, la majeure partie de la structure intacte, sur plus d’une centaine d’étages. L’électricité continuant à arriver y compris aux étages supérieurs, même après l’impact.
Ensuite, la « fournaise » qui est utilisé souvent comme argument n’est pas très compatible avec les employés qui travaillaient plus haut, et qui ont pu descendre sans bobo ! Le feu a certainement atteint des températures considérables à certains endroits, mais de là à dire que c’était le cas sur l’ensemble des étages touchés, c’est excessif. Une preuve supplémentaire étant les personnes qui fesaient des signes à l’endroit même ou les étages étaient détruit, attestant que la température ne pouvait y être aussi importante.
Là encore, votre hypothèse est basé sur des suppositions farfelues présentés comme des certitudes définitives, et ça ne résiste pas une minute au simple bon sens, comme argumentaire.