Merci de lancer le débat : il faut le faire ! Même réflexion sur le black out (marrant, hier, je songeais à afficher un grand rectangle noir (genre Hadopi) pour signaler la santé confisquée...
Pourquoi pas le lancement d’une grande enquête sur le sujet.
Certaines associations de malades ont capitalisé le « savoir du patient » et finalement beaucoup appris. Ces associations, lorsque elles ne sombrent pas dans les financements des laboratoires pharmaceutiques (probable que c’est quasi un combat perdu d’avance) font émaner une autre façon d’envisager « le soigner » et « le guérir ».
Pourtant leur démarche de départ (trouver le « remède », disons plutôt le « médicament » qui va soigner une maladie rare qui n’intéresse personne, du moins pas la solidarité publique sauf si elle apporte des capitaux privés : saluons tous les « thons » sur tous les tons) est strictement l’intérêt des malades.
Alors, oui, pour aider ces écolos dogmatiques, osons lancer les bases d’une médecine écologique, une « green médecine », celle qui va peut-être - lorsque les pesticides auront disparu : oui après tout pourquoi pas une petite claque sur une mouche dans un espace sans Bégon ou bien - j’y songe : une petite pulvérisation d’huile essentielle de géranium ou des géraniums pour ceux qui aiment : nous les hommes, les bêtes et les végétaux, unis dans un même élan ! pour éloigner sans faire disparaître... : âme sensible s’abstenir, laissons les malades empoisonnés mourir tranquillement aux frais de la princesse - médecine qui va peut-être remettre les simples au goût du jour...
Une médecine durable.
Une médecine du développement.
Avec tous ses chapitres passés au crible.
Merci d’avoir présenté le contenu de ce livre qui serait une bonne introduction pour entrer tête haute dans la haute académie du développement durable.