@ mes détracteurs : contrairement à vos
accusations à l’emporte-pièce, je n’ai dit nulle part qu’il fallait
remplacer la médecine conventionnelle par les médecines douces. Et je ne suis
pas du tout « contre » la médecine conventionnelle.
Mais je comprends
que vous ne pouvez qu’opposer des calomnies aux arguments, chiffres et réalités que j’expose.
Je signale simplement les abus et les effets malheureux de
la médecine trop facilement chimique, effets très peu connus du public, et apparemment de
vous-mêmes. Soit vous êtes naïfs, soit vous fermez volontairement les yeux
(avec peut-être des liens dans le milieu médical ?).
Faites donc une recherche.
Voici déjà 2 ou 3 pistes pour mettre sur la voie :
- Décès après maladies attrapées à l’hôpital (nosocomiales) : On estime qu’il y
a environ 9 000 morts par an, mais dans seulement 4 200 cas, le pronostic vital
n’était pas engagé avant la déclaration de la maladie.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Nosocomiale#En_France
Iatrogénèse médicamenteuse en France : 130 000 hospitalisations/an et 13 000
décès avérés (voire 32 000).
http://www.chirosystem.com/FPDF/maladiesiatro.pdf
On recense environ 400 000 signalements d’accidents nosocomiaux par an, dont 18
000 morts (chiffres 2002 B. Kouchner, ancien ministre de la santé).
http://www.urmlmp.org/pdf_rds/FVR2005.pdf
Pensez un peu à ces personnes qui faisaient confiance à leurs docteurs, aux familles qui ont à pleurer tous ces décès évitables. Mais vous préférez aboyer contre les novateurs, les chercheurs à l’esprit libre, les thérapeutes qui sont proches de leurs patients, ceux qui ont choisi de respecter le serment d’Hippocrate : d’abord ne pas nuire...
Certes, les chiffres cités ci-dessus varient selon les sources et des efforts sont faits pour les diminuer. Mais jamais les médecines douces, même incontrôlées, même
avec leurs dérives, n’ont causé autant de dégâts.
Mais cela, vous avez du mal à l’admettre…