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Commentaire de Julie Dep

sur Scientologie : derniers effets de manches avant le verdict


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Julie Dep Julie Dep 20 juin 2009 10:31

@Lisa
Oui, la démarche est certainement déterminée par l’isolement où chacun se trouve à un moment donné. Le groupe qui vous reçoit alors à bras ouverts, qu’il soit politique, sportif, religieux... et qui paraît s’inquiéter de vos états d’âme prend des airs de sauveur. On se sent toujours mieux entouré qu’isolé.
L’ennui, avec la scientologie, c’est qu’une fois endoctriné il ne vous reste plus rien de propre : ni thune ni libre arbitre.On vous dira que c’est de plein gré que vous cédez l’un et l’autre. Certainement. On peut être, comme dit l’autre, « acteur de sa propre aliénation »... Je pense aussi que ça n’arriverait pas dans une société plus ouverte.

« Adepte » : c’est juste un calembour, j’espère ? :)


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