@ manuelarm
" la relativité générale se fout
complètement de quoi est fait la matière, la matière noire ou énergie
du vide ne pose aucun problème à la relativité générale, il suffit de
modifier le tenseur impulsion dans l’équation, ou bien utiliser la
constante d’einstein pour contourner tout cela. "
Cela ne pose aucun problème lorsqu’il manque de la ’matière’ pour reproduire le mouvement des galaxies ou amas via la Relativité Générale ? Comment crois-tu que font les astrophysiciens pour calculer les estimations de collisions entre galaxies etc si ce n’est via la RR et leur supposée masse ? Et avec une constante de plus ça donne quoi ?
Einstein a regretté toute sa vie d’avoir dû ajouter la Constante Cosmologique dans ses équations. En fait l’équation se suffisait à elle-même, car on s’était aperçu que l’Univers était en mouvement, et surtout en expansion. Cette constante a justement permis au début de combler les failles du modèle admis à l’époque : l’Univers statique et immuable. Les modèles d’alors étaient faux !
Et aujourd’hui il serait soit-disant à nouveau légitime d’ajouter à ses équations la même constante ou presque pour que la Physique ’colle’ parfaitement aux observations. Un peu de constante par-ci, un peu de constante par-là, pour combler les trous. Jusqu’à ce qu’on s’aperçoive qu’on ne ’regardait pas au bon endroit’.
" Sinon, toute nouvelle théorie devra vérifier tout les hypothèses et
les conséquences de la relativité générale et celle de la mécanique
quantique, donc il est impossible que toute information ou
particule aient une vitesse supérieur à la vitesse limite qu’impose la
relativité générale. "
Et on en revient là aux référentiels et aux limites. Tu ne peux pas comparer ce qui n’est pas comparable. Comme la théorie de Newton ne prévoyait pas la distorsion de l’espace-temps, la Relativité Générale prévoit uniquement ce qui est admissible dans la seule et même ’bulle’ espace-temps. Les modèles type Warp Drive, bien qu’ils nécessitent la création de puissantes ondes gravitationnelles, pourraient s’avérer prometteurs. Et théoriquement, une bulle d’espace-temps peut se situer au sein d’une autre bulle. Il n’y a qu’à voir les trous noirs.