Rappelons que le port d’accoutrements discriminatoires envers les femmes n’est pas seulement une insulte pour celle qui le porte, qui peut bien ensuite prétendre qu’elle le porte sans y avoir été contrainte, afin d’éviter la prison à son « homme », ou a ce qui lui en sert de substitut, mais que c’est également, et surtout, une insulte pour toutes les femmes.
La République ne peut pas le tolérer et ne le tolèrera pas.
Ces affaires de voile islamique sont à rapprocher de la tentative récente de faire accepter en droit français le droit de répudier les femmes qui existe dans le « droit » islamique, à l’occasion d’un procès en « divorce » monté de toutes pièces, grace à la complaisance d’une « femme »qui a accepté, peut-être de bon gré, de participer à une manipulation.
Le port du voile islamique sera donc interdit sur le territoire de la République et, pour être tout à fait clair, il convient de préciser que non seulement les contrevenantes seront punis, mais que leurs hommes feront aussi l’objet d’une enquête de police, afin de déterminer s’ils n’ont pas exercé de violences ou de contraintes morales sur les contrevenantes.
Car il y a une chose qu’il faudrait sans doute rappeler de façon un peu solennelle : En France, les femmes ne sont pas des tapis et il est statistiquement assez peu probable qu’une femme musulmane dénonce les violences dont elle est l’objet à son domicile privé.