De nombreux
théoriciens de la conspiration gouvernementale des attentats
du 11 septembre 2001 affichent le titre de « truther » (chercheur de
vérité). Mais leur approche s’avère
être d’ordre dogmatique : ils tirent d’abord leur conclusion,
puis ne s’intéressent qu’aux éléments
allant dans le sens de leur conclusion.
Affirmation auto-proclamée qui n’engage que la mauvaise foi de son auteur.
Leur démarche n’est
pas celle de « truthers » mais de conspirationnistes : suspicion
systématique (voire délire paranoïaque
pour certains)
le seul point où j’ai un semblant d’accord avec vous. Certains succombent parfois à un excès de paranoite. Mais il y a des raisons pour cela...
« démonstrations » par l’analogie, raisonnements
simplistes, amalgames douteux, science infuse, pseudo-clairvoyance (les
autres étant par définition « aveugles »), prose
logorrhéique, suffisance.
Les arguments en eux-même sont suffisants pour démontrer l’imposture de la version officielle. Tout le reste n’est que subjectivité à géometrie variable.
Vu la complexité
du dossier du 11 septembre, aucun internaute ne peut
prétendre détenir des preuves de la
validité de la version officielle.
Lapsus révélateur ? Ce n’est pas la complexité qui est en cause, mais l’addition d’incohérences, d’invraisemblances, de contradictions, de contre-vérités qui rendent intenable la défense de la version Officielle.
Quand on connait bien le dossier, on ne peut avoir de doute, tellement les faits sont convergents.