Votre insistance à m’accuser des reproches que vous formulez pour d’autres me consterne cher ami. Je suis interessé également par une recherche rationnelle sur les évènements du 11 septembre. Il y a effectivement des concours de circonstances étonnants, vis à vis desquels les autorités seraient bien plus avisées de présenter des éléments que de les cacher, et de les soumettre à une enquête contradictoire.

Je ne suis donc pas fondamentalement contre votre thèse, votre série d’article m’interesse en ce sens qu’il porte à ma connaissance des pistes de reflexions. Je ne peux cependant m’empecher de les soumettre à l’exercice de ma raison avant de conclure. C’est la même démarche que vous entretenez je pense avec ce que d’aucun désigne comme la doctrine officielle, un exercice d’esprit critique.
Mais je m’oppose à l’utilisation de deux faits, dont chacun peut se faire une opinion raisonnable et scientifique. Car enfin, monsieur, nieriez vous par exemple que la rouille des éléments en acier est tout à fait rationnelle ? Ce débat sur un fait scientifique avéré me paraît d’autant plus absurde qu’il n’est pas je pense au coeur de votre série d’article, et que vous pouvez fort bien vous dispensez d’en parler.
Et donc l’utilisation de ces éléments selon moi n’est pas honnête, puisqu’il servent à entretenir chez le lecteur un climat de méfiance.

En résumé, je laisse le lecteur juge :
1/ de votre refus du débat,
2/ de votre comportement, qui crie au harcèlement, et jure à la diabolisation de vos interlocuteurs,
3/ des phénomènes de rouille des éléments aciers,
4/ des mètres cubes de terre déposés sur site.
J’invite le lecteur à se faire une idée, en occultant ce deux derniers points de la lecture de votre article, en regrettant seulement que mon commentaire n’apparaisse qu’en deuxième page.

Il n’est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre.