« J’espère que la France n’en est pas revenue à ces vieilles lunes catholiques intégristes... »
Bien sûr que non. Le catholicisme est devenu une religion de tapettes qui demandent pardon pour des « crimes » qu’elles n’ont pas commis.
Il se situe, désormais, à mi-chemin d’un parti politique et d’une assoce humanitaire et le fidèle qui croit en Dieu sans se prendre la tête, y fait déjà figure de dangereux fanatique.
L’intégrisme d’avenir, c’est le musulman. Si on sait que la population bruxelloise sera majoritairement musulmane en 2020, la France connaîtra le même sort vers 2050-2060.
A ce moment-là, seront effectués les derniers « réglages sociétaux » destinés à parachever l’islamisation de la société et des institutions.
Dans l’intervalle, le premier président de la République de confession musulmane aura été élu.
L’événement devrait se produire lors des présidentielles de 2026 ou de 2033, c’est-à-dire au moment où un quart du corps électoral sera composé d’« issus du tiers monde » - pour simplifier.
Leurs voix s’ajoutant au fonds de commerce électoral de la gauche, ou à celui de la droite courbe, permettront d’atteindre une majorité confortable et, facteur décisif pour le choix des principaux candidats, il ne sera plus possible de réunir, en France, une majorité absolue sans le soutien massif des électeurs allogènes/alterculturels*.
Mais notez bien que dans la mesure où la philosophie des « Lumières » a été infoutue de faire le bonheur de qui que ce soit, on ne perdrait pas forcément au change, avec l’instauration d’une République islamique…
* A ceux qui douteraient, je signale que c’est exactement la conjonction d’éléments qui a permis l’accession d’un autre issu du tiers monde à la Maison Blanche.