Voila que cela recommence, les adorateurs de la version officielle (il faut bien les appeler ainsi car admettre une version aussi ridicule est un acte de foi et non le fruit d’une réflexion) nous remettent une couche de gausseries et petites notes d’ironie déplacées.
Il y a un point de départ que ces gens ne comprenne visiblement pas : au lieu de questionner ceux qui posent des questions et relèvent des incohérences, c’est à eux de répondre aux multiples incohérences qui ont été relevées et de nous dire la réponse qui en est donnée par la version officielle - émanant du rapport de la commission Kean.
La simple existence des zones d’ombre relatives au déclenchement de l’écroulement de la tour 7 justifie évidemment une réouverture de l’enquête, cette fois par une commission plus indépendante.
De nombreux autres points restent par ailleurs en suspens qui ne sont pas abordées dans le présent article mais l’ont été dans les précédents articles consacrés à ce sujet récurrent d’agoravox :
1. Sur la tour 7, un rapport intermédiaire du NIST vient de sortir. Il en ressortirait que cette tour s’est écrasée suite à l’afaiblissement interne de la tour et les feux qui s’y sont déclarés. Le rapport du NIST écarte à nouveau tous les sujets gênants, comme la vitesse de chute et curieusement n’anlyse que les étages 8 à 40... Il existe déjà de nombreuses critiques sur le net de cette tentative d’explications qui paraît ne devoir abuser personne. D’après un expert hollandais interrogé par la TV hollandaise, il ne fait pas débat que cette tour a fait l’objet d’une démolition contrôlée.
http://www.youtube.com/watch?v=SmdWB NA_r_4
2. Comment expliquer le fait que se déroulait ce jour là des exercices de simulations d’attaques (comme à Londres le jour des attentats) ? Une simple coincidence ? Ce n’est pas un mais au moins cinq exercices de simulations qui étaient programmés. Le rapport de la commission en fait d’ailleurs mention mais prétend que cela a permis en réalité aux autorités d’être plus rapidement sur le front.
3. Comment expliquer les innombrables témoignages live ayant distinctement entendu des explosions dans les tours
118 témoignages de pompiers dont certains très circonstanciés sont disponibles sur le net. Certains parlent de flash rouges s’éparpillant horizontalement autour des tours. Voyez encore la manière dont les journalistes rapportent les faits en live et les témoignages des nombreuses personnes qui parlent de bombes. Les sites de debunking tentent de dire que ces témoignages ont été extraits de leur contexte. Pour les avoir lus dans leur intégralité, c’est totalement faux. Le fait est qu’alors que l’on ne pose pas la question aux pompiers sur ces explosions, nombreux sont ceux qui en parlent d’initiative...
Pour le bruit des explosions dans les tours, voy. notamment :
http://www.youtube.com/watch?v=th0Ipo96Sh0&a m p ;mode=related&search=
http://www.youtube.com/watch?v=CcRs1fv8i3I
http://video.google.fr/videoplay?docid=6708190071483512003&q=9%2F11+Mysteries ;
http://video.google.fr/videoplay?docid=6637199194166403079 ; un doc reprenant tous les témoignages des journalistes, pompiers, flics, employés survivants qui ne cadrent pas avec les explications actuelles. http://worldtradecentertruth.com/Article_5_118Witnesses_WorldTradeCenter.pd f
Ces vidéos et documents sont saisisssantes.
4. Comment expliquer les images d’explosions à la base des tours ? Ces explosions sont visibles sur certaines vidéos Eyewitness de R. Siegel citée par l’auteur du bon article) et ont été rapportées, pour certaines, dans les moments précédents le crash de l’avion dans les sous-sols de la tour. L’explication qui est donnée par les sites de debunking est que cette explosion dans les sous-sols serait due au kérosène de l’avion qui se serait déversé et enflammé dans les cages d’ascenseurs.
Cette explication ne satisfait pas le témoin, Monsieur Rodriguez, dont le témoignage a été tu dans le rapport de la commission. Il a entendu une bombe exploser et constaté que les sous-sols situés trois cent mètres en dessous du crash étaient complètement dévastés. Les dégâts sont corroborés par d’autres témoins qui ont constaté que les sous-sols des tours étaient dévastés, certaines machines de plus de 40 tonnes ayant purement et simplement disparu. L’explication donnée par les debunkers ne correspond en outre pas au timing qui se dégage du témoignage. Monsieur Rodriguez est tellement outré de l’attitude de déni de son témoignage qu’il figure parmi les plus fervents supporters de la réouverture du dossier... Au même titre qu’un nombre croissant de victimes. Expliquez-moi comment une boule de feu peut anéantir les parkings situés 300 mètres en contrebas, en passant par les conduits d’ascenseurs. Et si c’est l’onde de choc consécutive au crash, pourquoi a-t-elle concentré sa force destructrice aux sous-sols ? Restons sérieux, soit on nie la véracité des faits rapportés par les cinq ou six témoins que sont Rodriguez, Morelli, Phelipe David (googelez) soit on est bien obligé de rejetter catégoriquement la version officielle des faits, non ?)
5. Comment expliquer la très faible présence de débris d’avions sur le site supposé du crash de l’avion 93 ? Cette quasi absence de débris est confirmée par de nombreux témoins dont le chirurgien légiste appelé sur les lieux qui n’a pas pas trouvé l’ombre d’un débris humain ou d’une trace de sang. Pas de trace de ce témoignage pourtant capital dans le rapport de la commission.
6. La commission de délits d’initiés à grande échelle dans la semaine qui a précédé peut-elle être une coincidence ? L’explication officielle tendant à dire que les mouvements ciblés n’étaient pas suspects me semble également un peu courte... au vu des sources suivantes :
le 20 septembre 2001, sur ABC News, Dylan Ratigan, journaliste à Bloomberg Business News (l’une des principales agences d’informations financières américaines), déclarait au sujet de toutes ces spéculations boursières douteuses : « This could very well be insider trading at the worst, most horrific, most evil use you’ve ever seen in your entire life... This would be one of the most extraordinary coincidences in the history of mankind if it was a coincidence. »
http://www.usatoday.com/money/general/2001-09-26-suspicious-trading.htm ;
http://www.cooperativeresearch.org/context.jsp?item=aearly0901german
http://www.cooperativeresearch.org/context.jsp?item=a090601putsshorts
http://www.cooperativeresearch.org/context.jsp?item=a091001bells
De toute façon, ne pas engager le débat est la plus supeccte des attitudes qui se puisse.
6. Ne peut-on, pas s’attendre à autre chose en guise d’enquête sur de tels attentats que la constitution d’une commission parlementaire dont certains membres et non des moindres étaient des connaissances proches et anciens collaborateurs des responsables politiques en place ?
Les mensonges de certains militaires ayant témoigné, notamment à propos du timing des appels du NORAD et interventions des F16, sont à présent avérés par les propres dires de certains commissaires.
Un nouveau sénateur souhaiter déjà demander un complément d’enquête sur ce point.
7. Peut-on accepter la confiscation et la destruction des pièces à conviction des attentats criminels (vidéos du Pentagone, bandes sons des conversations avec pilotes (C’est quand même important dans ce type d’enquête !!!!), film des frères Naudet emmemenés par le FBI le jour même ,boîtes noires vues par témoins dont l’existence est niée par le FBI, ...) ? Le secret de l’instruction est levé. D’ailleurs, une décision est intervenue dans l’affaire Moussaoui et les pièces des parties ont été publiées sur le net.
8. Le rapport officiel sur les causes de l’écroulement des tours admet benoîtement ne pas avoir examiné les causes de l’écroulement des WTC 1 et 2 après que la structure de celles-ci ait cédé (autrement dit, la chute des tours est zappée), ce qui leur permet d’affirmer sans honte qu’il n’existe aucun élément indiquant l’utilisation d’explosifs. On se demande qui devrait être traité de « négationniste » : à la poubelle, les centaines de témoins des explosions à tous les niveaux des tours,...
9. Comment expliquer que le FBI disposait en réserves de l’ADN des pirates de l’air et comment l’ont-ils identifié dans la masse des débris alors que des fragments d’os semblent avoir été retrouvés sur le toit de l’immeuble de la Deutsche Bank, situé à 200 mètres environ des TT ? Fortiches les enquêteurs, non ?
Et sur le seul Pentagone :
1. Pourquoi ne dispose-ton pas des images des très nombreuses caméras de sécurité (hôtel, autoroute) ? Ces images pourraient évidemment confirmer dizaines de témoins ayant assisté au crash de l’avion danx le Pentagone. Pourquoi les retenir dans de telles conditions ? Pourquoi celles qui ont été délivrées de la caméra de sécurité finalement sont elles-si floues ? Pourquoi n’y distingue-t’on pas le commencement de preuve d’un avion ? Pourquoi des spécialistes semblent considérer que ces images ont été trafiquées (Le spécialiste est J.P Desmoulins et il explique cela longuement lors d’une émission radio à télécharger sur le site reopen 9/11 (version française) ?
Pourquoi occulter dans le rapport les témoins ayant fait état d’une forte odeur de cordite (explosif) dans les temps ayant suivi le crash ?
1. John Bowman, un ancien lieutenant colonel des marines, maintenant sous-traitant, était dans son bureau dans le corridor deux, près de l’entrée principale du parking sud. Tout s’est fait dans le calme, a dit Bowman. La plupart des gens savaient qu’il s’agissait d’une bombe. Tout le monde a évacué en bon ordre. Nous avions notre conviction de militaires qu’on nous avait bombardés.
2. Le reporter de « Stars and Stripes » Lisa Burgess marchait dans le corridor le plus intérieur du Pentagone, contre la cour centrale, lorsque l’incident est arrivé. « J’ai entendu deux forts »boums« , un très fort et un plus léger, et l’onde de choc m’a projetée contre le mur », a t-elle dit.
3. Gilah Goldsmith, une représente du personnel au Pentagone. Lorsqu’elle est arrivée à son bureau, vers 9h, elle a téléphoné à sa fille et a entendu « un incroyable craquement ». Cela ne lui a pas semblé trop bizarre parce que son bureau est situé près d’une zone étroite où les camions quelquefois heurtent le mur en manoeuvrant. On a dit à Goldsmith d’évacuer. « Nous avons vu un énorme nuage de fumée noire », a t-elle dit, précisant que cela sentait la cordite ou la poudre à fusil.
4. " L’avion de ligne s’est écrasé à environ 200 ou 300 pieds (60 à 90 m) de mon bureau au Pentagone, juste derrière l’un des coins par rapport à l’endroit où je travaille .../... Mes collègues ont ressenti l’onde de choc de l’impact, quil leur a fait penser à un tremblement de terre. Des gens criaient dans le couloir qu’une bombe avait explosé à l’étage dans le corridor principal du bâtiment. Aucune alarme ne s’était déclenchée. Je suis allé dans mon bureau, j’ai éteint mon ordinateur et je suis sorti. Avant même d’être à l’extérieur je pouvais sentir la cordite. J’en ai conclu que des explosifs avaient été employés quelque part.
Tous ces témoignages font dire à JP Desmoulins - qui ne nie pas le crash d’un 757 - que :
"Certains thèmes et des observations, dans ces témoignages, pourraient difficilement être expliqués autrement que par le souffle créé par des explosifs, probablement par une charge creuse :
l’odeur de cordite, l’onde de choc verticale au dessus du point d’impact, le bruit « boum », l’onde de choc par le sol, qui jette les gens à terre, la propagation d’une « vague lumineuse orange » qui disparait en un instant, laissant les gens dans le noir alors que les matériaux inflammables ont pris feu, incluant les cheveux et la peau des gens, la boule de feu blanc brillant vue à l’extérieur du bâtiment, la projection d’objets entier, comme une bouteille à oxygène, à près de 100 m du point d’impact vers l’extérieur, un souffle capable de déplacer une personne sur 20 m le long d’un couloir la projection de kérozène qui, quelquefois, retombe en gouttes sur les gens sans brûler, la propagation en deux temps, d’abord de la « vague lumineuse » et ensuite de fronts d’incendie d’hydrocarbures.
Beaucoup de personnes présentes dans le Pentagone étaient des militaires expérimentés, qui avaient été présents sur des champs de bataille au Vietnam ou dans la première guerre du Golfe, et leur réaction immédiate a été « une bombe ».
Comment ne pas s’étonner de l’habilité sinon impensable au moins remarquable (manoeuvre de descente vertigineuse à 350°) du pilote Hanji Hanhour, très médiocre selon son instrcuteur, dans sa manoeuvre d’approche du Pentagone, au point que les contrôleurs de Dulles en suivant la trace radar, se soient écriés que, vu la « manovrability » de l’engin, il devait s’agir d’un avion militaire ? Pourquoi choisir cette manoeuvre de descente très rapide avec un angle très inhabituel pour venir heurter la partie la moins peuplée du Pentagone qui venait en plus de faire l’objet d’une rénovation lourde des façades ? Rien n’est dit de cela dans les sites de debunkings non plus...
Pourquoi n’a-t’on pas retrouvé les images de Hanji Hanjour et ses complices lors de leur embarquement à l’aéroport ?
Il n’y a pas de réponses à ces questions dans la version officielle et dans les sites débunkant les versions dites conspirationnistes. De toute façon, on attend des autorités qu’elles les donnent elles-même.
Tout ceci ne justifie-y-il pas la réouverture de l’enquête, voire quelques soupçons à l’égard du Gouvernement en place quant à un cover up ?
Poser la question c’est y répondre.
12/10 16:47 - Andromede95
14/09 15:16 - anar75
La réserve Fédérale a été crée ILLÉGALEMENT sur le dos des Américains en 1913 un 23 Décembre (...)
14/09 01:03 - anar75
14/09 01:00 - anar75
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20/05 13:19 - Ragondin
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