Désolé pour le hors sujet, mais il s’agit d’un droit de réponse...
Au
dénommé Jean Paul, je voudrais assurer, ici,
toute la pitié, et tout le
mépris, que provoquent, l’une après l’autre, chacune de ses interventions.
Faute,
évidemment, vu sa totale indigence intellectuelle, du moindre argument
concernant les sujets dans lesquels il croit intervenir, il ne trouve, comme
unique ressource à s’exprimer, que les mensonges, les diffamations, la
calomnie, et les minables attaques personnelles dans le but dérisoire d’essayer
vainement de dévaloriser ceux qui ne pensent pas comme lui (encore que
« penser » est, dans son cas, totalement inadapté et
hypersurvalorisant), et moi, plus précisément.
Toute
honte bue, comme tous les êtres ayant perdu toute dignité personnelle, il se permet donc, de
médire, en m’attribuant une situation qu’il invente, ne connaissant strictement
rien de la vraie, mais qui ne fait que trahir, quoi qu’il en ait, la pauvre abjection
qui lui tient lieu de structure psychologique.
Outre
que, si ce n’était du virtuel, il aurait, depuis longtemps, en face à face,
reçu la légitime raclée que sa calomnie et ses diffamations font plus que
mériter, que j’aurais pu le traîner en justice pour mensonges et diffamation ; se croyant
lâchement à abri derrière son
petit clavier, il ne fait que dévoiler,
le pauvre, sans même s’en rendre compte, tant toute simple décence lucide lui
est définitivement étrangère, l’indignité et l’abjection qui signent la misère
de son univers psychologique, moral et affectif.
Il
est, hélas, de ces êtres qui ne peuvent même inspirer la compassion, tant ils
trahissent, à chaque instant, ce qu’ils ont depuis toujours été, et
continueront d’être, jusqu’à la fin de leur pauvre vie : de petits minables
envahis par l’aigre rancune, l’amère envie, les sordides ressentiments, qui en
font de définitifs petits frustrés fielleux, prêts à toute délation,
dénonciation, mensonge, pour croire satisfaire leur endémique bassesse de
sentiments et d‘humanité.
Peine
perdue ; elle est inassouvissable…
A
lui et
quelques autres usant des mêmes procédés (les Maxim, Snoopy, et autres zozo(s)…) , je voudrais,
néanmoins, adresser un salut radieux d’un pays où la magnificence des paysages,
la douceur de vivre, la gentillesse , l’accueil des gens, et leur
bienveillance, font oublier avec bonheur
le sinistre quotidien moral et affectif, l’univers psychologique sordide
dans lequel ils se complaisent à engluer toute leur indignité.
Outre,
donc, toute ma pitié, et tout mon mépris
; comme on dit chez moi : s‘ils couraient aussi vite que je les emmerde, ils
pourraient prétendre à toutes les médailles aux jeux handisport du bulbe.
Serviteur.
Sisyphe