C’est un véritable déni de justice et de démocratie que le gouvernement, sous la pression des lobbies d’organisations extrémistes juives, vient de commettre, en obligeant le parquet à réviser un procès dont tout le milieu judiciaire s’accorde à dire qu’il a été exemplaire, et à des jugements rendus, en leur âme et conscience, par un jury populaire.
La dérive continue, et était largement prévisible, avec la nomination de la MAM de fer pour remettre la justice au pas.
Le temps de la justice en France est révolu ; voici venu le temps de la vengeance, des lois d’exception, de l’iniquité, des jugements « pour l’exemple », de l’arbitraire, de l’autocratie au service des lobbies extrémistes.
Il n’est plus un seul domaine de la démocratie, de la république, que ce gouvernement n’aura contribué à démanteler.
Après l’école, l’hôpital, le système social, le travail, maintenant la justice ; la boucle est bouclée.
Déni d’un jugement rendu par les représentants du peuple souverain, ce gouvernement montre, là comme ailleurs (référendum sur l’Europe et autres), son mépris de l’équité, et de l’expression de ses citoyens.
Porte ouverte à tous les dénis de justice, pour peu que des groupes de pression ne soient pas satisfaits des décisions rendues ; bientôt, pourquoi pas, réinstauration de la peine de mort, de la loi du talion ; ce pays s’enfonce de plus en plus dans une dérive autocratique et un régime de forfaitures.
Faits divers érigés en faits de société, prétextes à un appareil et des lois de plus en plus liberticides, justice à la botte des groupuscules fascistes et des partisans d’un retour à la barbarie : la moindre honnêteté obligerait à remplacer tout le corps judiciaire par des militaires ; au moins, le monde verrait ce qui se passe réellement.
J’espère que des recours vont être déposés auprès de la cour internationale de justice, pour faire respecter le droit.
Honte à ce gouvernement de collabos, de fascistes, et de lâches.