Armand,
merci de votre commentaire constructif, et qui permet d’aller encore plus au coeur du sujet,
en évoquant la décriminilasation des drogues dites douces, vous n’etes pas hors sujet, et c’est meme très intéressant, puisqu’une partie des incarcérés le sont pour ces raisons.
il est essentiel de faire un parrallele avec ce qui s’est passé au temps de la prohibition :
l’alcool (qui est une drogue, ne l’oublions pas) était interdit.
çà n’a pas empeché son commerce, et je pense meme que ca l’a stimulé.
le problème essentiel étant qu’il n’y avait aucun contrôle sur la fabrication de ces alcools,
or chacun sait que lorsque l’on distille, il y a au début de la distillation des esthers dangereux, et qu’en fin de distillation, il y a des goudrons, tout aussi dangereux.
sans controle, c’était donc des produits dangereux qui étaient mis en circulation.
le parrallele avec les drogues dites douces est facile à faire.
des l’instant ou c’est interdit, çà développe un commerce florissant lié au banditisme, et çà met en circulation des produits souvents dangereux, car coupés avec d’autres drogues permettant l’accoutumance, et néfastes à la santé, on s’en doute.
beaucoup d’entre nous ont oublié que la seita commercialisait tout a fait officiellement des cigarettes au hashich en afrique du nord, lorsque celle ci était française.
il y aurait beaucoup a gagner pour l’état, et pour la santé de ceux qui en consomment de rendre ces drogues légales.
il le fait bien pour l’alcool, et la cigarette, qui sont eux aussi des drogues.