Vous avez parfaitement raison.
Néanmoins, vous remarquerez que les US ou la GB n’ont pas de probléme de délocalisation, et pas de chomage de masse -plus exactement, les délocalisations CREENT de l’emploi chez eux. En réalité, si l’économie est bonne, les entreprises restent, tout en délocalisant, car les futurs maché sont en Asie (Chine, second marché du monde, bientôt le premier), pas en europe. Si l’économie est entravé par des groupe de pression (Bové, CGT, fonctionnaires, etc) et des Lois anti-libérale, et bien les entreprises s’en vont, car elles préférent largement sacrifier un peu de profit à leur liberté (on l’a vu avec Apple, qui a annoncé qu’elle quiterait la France si tel Loi était voté). Sans parler des PME, le jours ou elles en ont marre d’être emerdé et de nourrire des fonctionnaires inutiles et nuisibles. Bref, on ne peut pas combatre le capitalisme comme on le fait en France, et venir aprés pleurer que le capitalisme ne marche pas. Il faut être cohérent.
Par ailleur, grâce au capitalisme, le salaire d’un ouvrier chinois explose. A tel point d’ailleur que les entreprises chinoises sont maintenant en train de.. délocaliser !
Mais n’oublions pas que le salaire est fonction du marché, donc de la productivité. Ainsi, un ouvrier US est 28 fois (! !) plus productif qu’un ouvrier Chinois, et le salaire suit. De faible salaire ont un rapport avec une faible productivité. Et l’on peu d’ailleur s’inquiéter de la faible hausse de productivité en France depuis 15 ans... Mais aussi, puisque l’on matraque les investisseurs, « les riches » comme on dit (le capital est deux fois plus imposer en France que dans le reste de l’Europe, or la productivité, c’est largemnt du au capital, les études n’ayant pas un énorme impact en fait), faut il s’en étonner ? Encore une fois, les chose sont trés simple, les solutions connues, mais bloqué par la faute de corporatisme et de particuliers parasites qui ont tous à perdre personnellement de la concurence, du fait de leur médiocrité.
Bref, votez Sarkozy, parce que lui au moins il n’est pas pour le consensus, le sur place, le radotage d’idée moisies, le conservatisme : avec lui les choses vont changer.