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Commentaire de barbouse

sur Pourquoi le malaise de Sarkozy n'est sans doute pas vagal mais cardiaque


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barbouse, KECK Mickaël barbouse 27 juillet 2009 12:29

bonjour, nouvel adhérent à la secte du grand complot, aprés avoir récité ma série de mantra devant l’autel du « grand doute qui a toujours raison », j’active le mode « et si ce malaise était une stratégie de communication de l’élysée ? » ?

Alors, en mal d’amour populaire, avec des sondages où quantité de français ont toujours du mal a croire avec l’estime qu’ils ont pour la fonction présidentiel qu’il y a N.S assis sur le siège,

En prévision de 2017 où la stratégie supputée par notamment Zemmour dans un « ça se dispute », est d’essayer de récupèrer des votes de centre gauche via le réseau de carla,

il faut dés aujourdh’ui commencer l’opération « humaniser la bête politique au yeux des Français », dégonfler la baudruche du surhomme providentiel pour atteindre la capacité au pardon des populations ciblés devant les probables mécontentement lié aux résultats attendus ces prochaines années. Finir le temps du président qui prend les coups pour sortir les parapluies ministres avant le bilan de 2017.

Aussi aprés le coup des 8 pages pour exprimer des regrets sans s’excuser, au résultat peu probant sur les couches populaires qui n’achètent pas de journaux, arrive le « coup du malaise vagal en pleine dernière étape du tour de France » comme une évidence, que ce malaise soi vrai ou faux ne changeant rien a la manière d’exploiter médiatiquement cet évènement.

Il s’agit d’en profiter pour mettre une dose intensive pour rappelé que LE président a eut un malaise, avec moult documentaire pour rappelé que c’est lui le suivant de tous les vrais président précédent, ça c’est pour ceux qui ont du mal a le voir comme ça.

Une dose de « il se surmène au service des Français même en vacances jusqu’au bout de ses formidables réserves énergétique qui commencent a s’épuiser. Son agenda va être diminué, François Fillon est fidèle et pret au poste pour soulager le président. Pas d’alarmisme on tiens la boutique.

Et une bonne dose d’il est comme nous brave gens, lui aussi il faut des régimes avant l’été, et tout le monde sait que c’est dur, auquel on ajoute une faible dose de » oh le pauvre, regarder lui aussi il souffre, moi aussi j’ai eut un malaise quand j’étais surmené, je dormais peu tellement j’étais stressé par mes responsabilité, il tiens tellement son travail a coeur sans relache mais il est humain dans le fond, faillible, peut etre un peu fragile, avec un métier si difficile, on doit l’aimer et le pardonner« 

manque de bol, dans leur empressement, mauvais timing des journalistes, il n’y a pas eut beaucoup de suspens pour savoir si le malaise était grave, ce qui n’a pas laisser le temps de profiter a plein de l’ascenseur émotionnel, celui où comme saisi d’effroit en apprenant qu’on a hospitalisé un presque membre de sa »famille médiatique« , on angoisse d’en savoir plus.

Aussi rien ne vaux un article comme le votre pour douter de la réel gravité du malaise, comme cela, avec un peu de chance, il sera considéré comme plus normal de moins de préserver ou de moins malmené verbalement voir d’insulter le président dés qu’il sort de son camps retranché, dorénavant il faut y prendre soin, il faut pas secouer un cardiaque trop fort, on sait jamais.., »

Donc en gros, c’est si on veut le faire pardonner par le peuple tout en gardant l’image du type qui se défonce pour la France au point d’y laisser sa santé, ce qui lui permettra a l’heure des bilans de dire « auriez vous fait mieux, moi j’ai fais tout ce que j’ai pu a fond sans me ménager », tout en le rendant plus humain et plus proches des valeurs du coeur, le traitement médiatique de ce malaise est particulièrement bienvenu...

amicalement barbouse. complotiste amateur...




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