Pour les noix de pétoncle, je confirme et je justifie. Il s’agit en fait de tromper le chaland en appelant noix de saint jacques, la pétoncle. Tout cela dans un arrêté de 96 qui a fait l’objet d’un débat parlementaire "
CONSÉQUENCES DE L’ARRÊTÉ ACCORDANT L’APPELLATION DE « COQUILLE SAINT-JACQUES » AUX PÉTONCLES
Cet arrêté porte un grave préjudice aux pêcheurs haut-normands qui traitent près de la moitié des coquilles Saint-Jacques produites en France. Le pétoncle, en effet, n’a ni la saveur ni les qualités nutritives de la coquille Saint-Jacques et son prix de revient est deux à trois fois inférieur à cette dernière. Mis sur le marché sous l’appellation « Saint-Jacques », il porte une concurrence d’autant plus meurtrière à la coquille Saint-Jacques authentique qu’il constitue pour nombre de pays, notamment asiatiques, un article abondant d’exportation.
Cependant les prix de ces noix est exorbitant (trois noix pour 21 euros en Bretagne, à côté de Lanester) sans même savoir s’il s’agit de noix ou de pétoncle : le restaurateur n’a pas répondu à la question !!!!!
Alors dans ces conditions et sachant qu’en plus on se fait avoir au niveau collectif de 2.5 milliards d’euros, je pense que les restaurateur indépendants (donc faisant partie notamment de l’UMIH) n’auront plus le plaisir de me voir. Je préfère, quand j’y serai obligé aller manger dans les chaines, qui elle ont compris l’enjeu.
D’autant qu’en période de restriction, la vie est dure pour tout le monde, restaurateurs ou pas. Si ces restaurateurs ne l’ont pas compris, dommage pour eux !