Marre de lire que la vapeur d’eau est le principal gaz à effet de serre !
(voir le post de Péripate : "Selon le GIEC lui-même (pour ne pas être accusé de partialité) l’eau (vapeur et nuages) compte pour 72% de l’effet de serre total, le gaz carbonique et les autres gaz pour 28%. Le gaz carbonique est donc (toujours selon le GIEC) responsable de 22% du total. Quelle est la part d’origine anthropique de gaz carbonique ? 3% du total, la majorité du gaz carbonique présent dans l’atmosphère étant rejeté par les océans).
La vapeur d’eau est un régulateur du climat. L’hydrogène et le CO2 ont un rôle indéniable pour la faune et la flore, mais pas directement sur le climat. L’azote je ne sais pas, mais est stable.
Une augmentation de CO2 modifie considérablement les paramètres de régulation thermique : est-ce qu’il faut plus de vapeur d’eau en activité ? Moins ? Personne ne le sait, mais ce que l’on observe c’est que le climat est perturbé. Aux monétaristes : la vapeur d’eau est un peu la monnaie du climat : quel est le bon rapport entre la masse monétaire et l’ensemble des richesses ? Le moins que l’on puisse dire c’est que, de ce point de vue, l’économie est loin d’avoir trouvé un équilibre, ce rapport variant sans cesse.
L’expression réchauffement climatique est fallacieuse et cherche à positiver le phénomène. A part les pays du Sud (qui ne comptent pas ! ), qui dans les pays riches serait contre un réchauffement climatique ? Merveilleux ! On fera des économies d’énergie ! et hop, baisse des consommations, baisse du CO2, tout le monde sera content.
Certains disent : par le passé il y a eu des concentrations bien plus élevées de CO2. Oui, certes, mais quelles étaient les conditions climatiques ? Les mêmes disent : vous refusez la mondialisation libérale, vous voulez revenir à l’âge de la bougie. Mais eux-mêmes nous font revenir au Moyen âge, si ce n’est à l’âge de pierre, voire à l’ère glaciaire.