@l’auteur, grand merci, ça fait du bien !
Bon, si nos élites commencent à être objectifs sur l’économie mondialisée, ça veut dire que l’on va dans le bon sens, au moins si les problèmes ne sont pas résolus, on a enfin les mêmes préoccupations.
Jacques Attali a enfin compris que :
- En l’espace de 2 années, la FED a fait passer les taux d’intérêts de 1 % à 5,5 % avec 3 millions de prêts à taux variables titrisés dans la nature : De toute façon, à moins d’être aveugle, on voyait le clash arriver.
- Qu’un prêt de 30 ans à 5.5 %, présente dans sa première année un rendement supérieur à 400%, lié à ventilation intérêts/capital des mensualités (On est très au dessus des 10% annuels des portefeuilles d’actions), d’où le formidable effet de levier des titres adossés.
- Que la spéculation sur les matières premières représente une marge amont sur tous les biens de consommation et d’investissement, et que le problème du pouvoir d’achat est intimement lié à cet aspect de l’économie.
- Que les états unis ont réussi, en rendant leur monnaie incontournable dans les échanges internationaux, à faire des autres pays leurs actionnaires, avec à la clef un rendement plus que douteux.
- Que les banques américaines gouvernent leur pays, en détenant les clefs de la FED et grace à un jeu de chaises tournantes des haut responsables.
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Je passe la main pour la suite (Crises alimentaires, instabilités politiques, guerres, etc.)
Reste tout de même un point important qu’il faudra bien un jour éclaircir : Comment le peuple Européen a-t-il réussi à se faire vendre un système politique ultra libéral, et à qui profite le crime.
Et je tiens à préciser que le paragraphe ci-dessus n’est nullement le fait d’une tendance nationaliste, extrémiste ou conspirationiste de ma part.