La vie et son développement ne sont pas « hors sol » mais prise dans les contradictions individuelles et collectives et notamment celles des rapports sociaux. C’est là que les choses sont plus difficiles.
Promouvoir les forces de vie ce pourrait être, dans ma vision du monde, changer en positif les conditions matérielles de travail et de vie de « ceux d’en-bas » ici ou au sud (cf « Défendre les prolétaires à 3000 euros et moins » sur AgoraVox ce jour). Favoriser la démocratie est aussi un élément important contre le césarisme toujours possible.
Réponse à la crise climatique est une urgence qui suppose de gros changement de perspective en économie.
Force de vie c’est aussi favoriser l’émancipation humaine encore bcp trop écrasée sous divers dispositifs autoritaires qui vont du travail intensif et prolongé aux religions dures contre les femmes.
Thanatos se déploie sous trois rapports sociaux mondiaux : le « classisme », le racisme, le sexisme. Une vraie plaie. On parlera d’amour sans idéologie quand le mépris aura disparu sous ces trois scènes. On prend le chemin inverse. La situation au travail des femmes dans de nombreux pays est en régression profonde tant au travail qu’en dehors. C’est inquiétant mais les forces de vie peuvent bousculer le mieux monde avant que sa face morbide déchaine la guerre, la malnutrition et les morts.
Désolé d’être si peu « rose » mais j’aime bien la direction donnée par l’article néanmoins. Il faut s’élever vers la lumière mais on est dans la boue et les eaux du calcul glacial continue de monter comme les chiffres du Ministère de la xénophobie d’Etat.
CD