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Commentaire de sweetsmoke

sur Keny Arkana, entre la rage, le talent et la foi


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sweetsmoke (---.---.134.131) 12 novembre 2006 19:00

morceaux choisis de ses textes : "Nettoyage au karcher, « N’oubliez pas qu’c’est par les urnes qu’est arrivé Hitler » > euh, LOL

"France schizophrene aux valeurs hypocrites qui écoeurent, Stigmatisent nos quartiers, pour que les autres aient peur"

« d’après wiki, La schizophrénie est une pathologie psychiatrique d’évolution chronique. Elle a pour conséquences une altération de la perception de la réalité, des troubles cognitifs, et un dysfonctionnement social et comportemental important »

qui est schizophrene ?

« C’est à L’Elysée que se cachent les plus grands des racailles ! »

mal choisi, d’après wiki, la racaille « serait Un groupe méprisable, la partie du peuple la plus pauvre ou la couche la plus basse de la population. » rian à voir avec des énarques.

"Nettoyage au karcher, « Islamophobie à tout va, mais n’critique pas Israël ! » LOL, quel rapport entre islamophobie et la politique du général Sharon ?

solidarité imaginaire entre les musulmans de france et les palestiniens qui dérouillent ?

« Ce n’est pas ton peuple, collabo qui s’est battu contre l’Occupation ! » euh mon grand père 7 fois décoré avec 6 balles dans le bide te pisse à la raie du fond de sa tombe, et te dis de retourner à l’ecole et d’arreter de regarder des clips.

"Des politiques qui jouent les acteurs, N’assument pas le passé colonial, et quand les banlieues pètent, accusent les rappeurs".

quel passé colonial ? on devrait s’excuser parce que nos ancètres plus fort, bottaient le cul des plus faible ? on va demander à l’italie de s’excuser pour César et à la turquie pour l’empire Ottoman.

rappeurs, quels rappeurs ? le rap francais est au gangsta us ce que le yéyé était au rock. va t’écouter des rap battles d’eminem et repasse àprès.

paradoxe du rap tout court, qui finit toujours par être récupéré politiquement (doc gyneco, joey tarte...)pour finir avec un méssage de départ complètement faussé, qui fait que la majorité silencieuse finit par se méfier de ses pseudo rebelles qui passent chez Arthur ou sur skyrock, y voyant là juste une occasion de faire acheter des fringues moches et des cd à des gosses.

le rap, sensé être à l’origine outil d’intégration des minorités dans le moule citoyen républicain à long terme (c’est la gauche qui à financé les premiers disques d’iam par ex) devient au fur et à mesure le seul moyen d’expréssion de la délinquance en survètement si l’on s’en tient à ce que raconte les médias. En somme, forcément faux (pour la minorité qui sait décoder) mais terriblement vrai (pour la majorité brainless).

« Si je dis que je mens, est-ce que je dis la vérité ? »


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