Le fait que Lerma qualifie de « révisionnisme » la critique de la version officielle montre beaucoup, beaucoup de chose.
1) d’abord que comme les autres, Il associe la contestation de la version Bushiste des evenementsà une negation des crimes nazis (ou les juifs etaient des victimes reconnus).
Avec nous ou contre nous n’a qu’une seule solution si on conteste la version officielle : ETRE contre les juifs, antisemites et promis à l’enfer.
En realité, en faisant cela Lerma, comme tous les autres, valide la communion d’interet entre les sionistes, les Bushistes et LA seule version des evenements qui les servent....
2) En se refugiant dans cette posture, Lerma (comme les autres) confirme egalement qu’ILS sont désormais acculés, enfermés dans leurs mensonges et désormais conscient de ce que va impliquer la remise en cause de cette version si « contestable » :
D’abord bien sur, cela va avoir un imapct pour les sionistes purs et durs qui vont se retrouver dans le meme camps des menteurs que Bush et sa bande.
* La messagerie instantanée ODIGO qui previent les juifs du WTC d’arriver « en retard » ce jour la (source : le journal juif HAARETZ)
* les agents du Mossad pris a New York en train de danser, le briquet allumé comme dans un concert rock au moment ou les tours tombent....
* L’extraordinaire claivoyance de Beni Madoff et de tous ceux qui ont anticipé la chute des actions des compagnies aeriennes et des compagnies d’asurance...
*L’extraordinaire prévoyance de Silverstein qui fait inscrire sur son contrat qu’il sera le reconstructeur des tours en cas de destruction....
* La complaisance de la presse Dassault, si critique envers la version officiele lors de l’explosion de Toulouse qui continue a vendre coute que coute, la version Bushiste du 11-09
Tout cela, il faudra le montrer du doigt et en tirer les consequences, si d’aventure, la version officile ne tenait plus.....
Vous comprenez mieux maintenant, j’en suis sur, pourquoi ils se cramponnent tous à la version officielle, arc bouté sur la dernière ligne de defense avant la catastrophe qui se pointe au cas ou la vérité exploserait.