1 - Faire un procès en diffamation contre quelqu’un qui a énoncé des choses véridiques et vérifiables sur vous procède d’une malhonnêteté intellectuelle notoire. De plus prendre pour avocat le sioniste Goldnagel dont tout le monde connaît la tendance au harcèlement judiciaire est une signature. Ces deux faits sont indéniables, et sont pour moi suffisants à disqualifier une personne.Cela étant, il y a beaucoup plus, et il suffit de lire Weill Raynal pour le savoir.
Dieudonné n’a jamais rien fait de tel.
2 - « Non, Sibel Edmonds n’a pas... » présuppose que quelqu’un a affirmé qu’elle a, pour avoir du sens. Or questionné, l’auteur n’a de réponse que par un renvoi sur un entretien où l’auditeur questionne de la façon la plus délicate et la moins assertive possible.
3 - le principe même de la désinformation consiste à mélanger des vérités et des mensonges ; plus le mensonge est gros, plus il sera entouré de vérités de façon à le camoufler.
En ce sens, l’intégrité d’un auteur est pour moi un critère fondamental. On peut dire toutes les généralités qu’on veut sur les procédures. Il s’agit d’un cas d’espèce précis où il est patent que l’auteur s’est discrédité avec application, imaginant probablement une collusion qui n’a pas été.
Vous avez manifestement des critères différents, mais ça n’a rien de nouveau, et n’a pour moi comme impact que de m’inciter à préciser que je trouve votre avis discutable.